Je vous souhaite de joyeuses fêtes de fin d'année, en rouge et noire euh non en rouge et blanc ;-)
le rouge et noir
LE BELEM
lundi 24 décembre 2012
mercredi 12 septembre 2012
Chez ma fée Irlandaise
http://www.morganirishfairy.com/
Après avoir rendu visite aux habitants
de Brocéliande, je suis allée chez mon amie la fée Irlandaise.
Chez elle, j'ai l'impression d'être
encore en Brocéliande, car j'y retrouves, en peinture, en photos ou
en sculptures, les fées, les elfes que je venais de quitter.
Chez elle tout parait calme, même
quand les musiciens prennent leur guitare, il y a comme une espèce
de silence, comme si tous les sons étaient atténués par la magie,
pour être encore plus agréables à l'oreille.
Et sa potion que l'on déguste avant
les repas, est un vrai régal, il valoir qu'elle se remette derrière
les chaudrons, je lui ai vidé ses réserves.
Elle m'a présentée son amie la fée
aux bulles, chez qui nous avons passé une très agréable soirée.
Chez cette dernière, l'amitié, la
musique et bien entendu les bulles sont des invités privilégiés.
Nous avons été ainsi dans un pays
merveilleux où toute sorte de bulles multicolores venaient nous
rendre visite,
Elle n'est pas seule ma fée Irlandaise
dans son palais au milieu des vignes, elle à son petit elfe et son
magicien qui fait revivre tous les plus beaux instants sur pellicule.
Vous la rencontrerez peut-être dans
les marchés où chevaliers et gentes dames se promènent, car elle y
vend ses peintures.
Je lui en aurai bien achetée, mais je
ne savais lesquelles choisir, elles sont toutes si belles. Mais je
sais que je lui demanderai de me faire le portrait de ma marraine la
fée Selkie pour mettre dans mon salon dés que j'aurai terminé le
nouvel agencement de ce dernier.
Ainsi à chaque instant Selkie sera
toujours avec moi à travers l'œuvre de ma fée Irlandaise.
mercredi 8 août 2012
Deux ans déjà
Deux ans, comme cela passe vite, mais cette deuxième année, c’est terminée avec un sérieux manque d’inspirations. Ce n’est quand même ces 24 mois qui sont les fautifs, plutôt le manque de soleil. J’ai pourtant plein d’idées de textes dans la tête, mais ils n’arrivent pas la page blanche de mon cahier.
Si je n’entends pas le chant des oiseaux et surtout le clapotis de l’eau, rien ne s’imprime.
Heureusement dans deux jours, je serais avec mon ai l’océan, et ce n’est pas la pluie qui m’empêchera d’aller le voir pendant des heures. Si seulement je pouvais aussi aller voir mon amie la Seine, les jours de pluies, cela me ferait le plus grand bien c’est certain. Pourquoi ce qui me semble naturel lorsque je suis près de l’Océan ne l’est plus lorsque je suis de retour en Ile de France. C’est étrange….
Rien qu’à l’idée de le rejoindre bientôt, mon stylo s’est mis à glisser sur ces pages restées muettes durant de longs mois. A moins que ce soit les deux musicos qui grattent un peu beaucoup dans mon salon… Tiens ça me fait penser à une certaine Jam session, qu’il faudra que je vous raconte à mon retour.
Les nuages gris, noirs semblent me narguer, je les ai à l’œil, j’ai du linge qui sèche sur le pont du Belem. Ils voudraient me faire rentrer dans la cabine, mais de celle-ci, la vue sur les autres goélettes est beaucoup moins nette. De beaux marins sont en plein préparatifs pour de prochaines aventures. En fait ces nuages sont mes complices, car c’est à cause d’eux que je suis obligée de rester sur le pont.
Si seulement, ces coquins exécutaient leur menace, je me précipiterais pour rentrer le linge, sauf la belle serviette, celle avec une Selkie qui serait mon alliée pour conquérir ce beau matelot. J’imagine déjà son corps de rêve se dessiner sous son maillot mouillé.
D’un seul coup, il se met à pleuvoir à grosses gouttes, et là ce n’est pas un rêve, vite lancer cahier, stylo dans le salon, rentrer le linge. Puisque c’est ainsi je vais me faire une après-midi en compagnie des « souverains ».
http://www.dailymotion.com/video/xpqy6j_generique-intro-les-souverains_shortfilms
Je vous souhaite de bonnes vacances et une bonne rentrée, pour ceux qui vont reprendre le chemin du boulot.
Agur, Kenavo.
mardi 1 mai 2012
Une Nouvelle Vie
En cette belle journée du 1er mai, j’ai abandonné la cabine douillette de la goélette, pour profiter de ce radieux soleil, le long des berges de la Seine. Au bout d’une heure de marche, je me suis posée sur un rocher, les pieds à fleur d’eau. Un couple de colverts est venu me rendre visite. Afin de pouvoir mieux profiter de cette quiétude, j’ai fermé les yeux. Seuls le clapotis de l’eau et le chant des oiseaux se faisaient entendre, je serais bien restée ainsi des heures. Un peu plus loin, un pêcheur c’était installé et montrait à son petit fils le bel cormoran noir, qui avait depuis 2 ans choisit de vivre parmi nous.
A cet instant j’ai compris quel était ce plaisir que ces hommes venaient chercher au bord de l’eau. Je me suis souvent demandé, comment on pouvait rester ainsi des demies-journées voir des journées entières au bord de l’eau à entendre que le bouchon s’enfonce par la gourmandise imprudente d’un poisson.
Si parfois, ils ont de quoi nourrir leur famille pour le repas du soir, souvent ils reviennent bredouillent, et les poissons de la Seine de l’île de France, je ne suis pas certaine qu’ils soient très comestibles.
Mais au fond ils sont comme le peintre qui installe chevalet et pinceaux pour reproduire ce merveilleux spectacle qui s’offre à nous , je suis comme eux, sauf que c’est ma plume qui traduit ce sentiment de liberté. Ca quelque soit les résultats de la semaine prochaine, rien nous empêchera de nous retrouver entre le bras mort du Giboin et la Seine durant les prochaines semaines à venir.
Et si je demandais à ce pêcheur des conseilles pour pouvoir me nourrir de ce que la nature m’offre, ainsi qu’au chasseur et au jardinier. Le supermarché perdrait une cliente, et avec les économies que ma pêche et ma chasse me feront faire, j’achèterais des poules pour les œufs, un cheval pour me déplacer. Puis avec les économie d’essence, je pourrai acheter un 2ème cheval, puis une roulotte, une chèvre pour le lait, une vache c’est un peu trop encombrant.
Etre riche, le rêve de beaucoup, mais rien nous empêche d’y être, il suffirait juste d’avoir le courage de le devenir.
Se débarrasser de tous ces appareils que l’on veut nous faire croire indispensable, télévision, téléphone, ordinateurs, machines à laver…Au lieu de se retrouver sur la toile pour discuter, on se retrouverait aux lavoirs, aux potagers, aux champs. La vie sera plus dure ? Pas si sure, peut-être physiquement et encore notre vie actuelle est éprouvante autant physiquement que moralement.
Assise ainsi au bord de l’eau, je me dit que la seule façon de se sortir de ce chaos, est de faire une sacré marche arrière.
De retour sur la goélette, mon pirate était en train de faire griller un bar qu’il avait pêché lors de son précédent voyage, qu’il avait su garder dans du sel. Je le pris dans mes bras et lui dit, demain je ne vais pas au bureau, je reste avec toi sur ce navire. C’est toi qui a raison, et mes amis recevront dorénavant mes invitations et mes courriers par pigeon. C’est ainsi que nouvelle vie est née.
vendredi 13 avril 2012
Les enfants de la terre
Il y a quelques années j’ai fait la connaissance d’une jeune Cro-Magnon, Ayla. Plus d’une fois, j’ai eu envie de la rejoindre, vivre parmi les membres de sa caverne. Pourtant la vie n’y était guère facile, ils n’étaient pas à l’abris de mourir de froid ou de faim. Mais ils savaient vivre en communauté, le partage était naturel chez eux. Le chasseur nourrissait le tailleur de silex, en échange ce dernier lui fournissait les armes, qui lui permettait de ramener la viande et de protéger les membres de la caverne des animaux féroces. Si une femme n’avait plus assez de lait pour nourrir son enfant, ou si la mère de celui-ci était partie faire la cueillette d’herbes et de fruits, une autre lui donnait le sein. Ils vivaient en paix et en harmonie, même si parfois, il y avait quelques éléments perturbateurs.
Mais je l’avoue ce qui m’attirait le plus, c’était les fêtes de la Mères. Comme j’aurai aimé honorer la Mère avec Jondalar, son compagnon, qui sait si bien lui donner les plaisirs. Je sais ce que vous allez penser, que ce n’est pas bien de fantasmer sur le compagnon d’une autre. Mais chez Ayla,, la jalousie n’existe pas, du moins celui ou celle qui ressent ce sentiment fait tout pour que personne ne le sache, car ils seraient punis car :
« Partager le Don des plaisirs ne revient pas à aimer quelqu’un. C’est-ce qui donne les bébés, mais pas l’amour. L’amour peut rendre les plaisirs encore plus intenses, mais lorsqu’on aime quelqu’un, quelle différence cela peut-il bien faire si la personne en question s’accouple avec une autre ? Comment un accouplement, qui ne dure qu’un moment plus ou moins long, pourrait-il être plus important qu’un amour de toute une vie ? »
Cependant, il suffit que mon regard croise celui de mon pirate pour que le bel homme blond disparaisse. Il faut avouer que cet aventurier des mers est aussi doué que cet homme des cavernes.
Mais il m’est impossible de rester de marbre lorsqu’elle me raconte certains épisodes de sa vie intime comme celui-là :
« Il la prit dans ses bras avec passion, baisa sa bouche, son cou puis son corps avec ardeur. Elle était tout aussi pleine de désir, aussi ardente, et éprouvait un besoin presque désespéré de sentir son corps. Il l’embrassa de nouveau, lentement, explora sa bouche avec sa langue, puis son cou, se pencha sur l’un de ses seins, en prit le bout dans sa bouche. Des vagues de plaisir parcoururent Ayla; Cela faisait longtemps qu’ils n’avaient pas trouvé le temps de jouir du Don des plaisirs fait par la Mère.
Il suça le mamelon, puis l’autre, lui caressa les seins. Elle éprouvait des sensations jusqu’au tréfonds d’elle-même, à l’endroit qui brûlait d’envie de lui. Il posa la main sur son ventre et le caressa doucement. Il avait une certaine mollesse qu’il aimait, une légère rondeur qui la rendait plus féminine. Quand il posa la main sur la toison de son pubis, puis passa un doigt dans le haut de la fente et commença un lent mouvement circulaire, elle eut l’impression de fondre dans un océan de plaisir. Lorsqu’il atteignit l’endroit le plus sensible, des frissons la parcoururent, elle gémit et cambra le dos. »
Je sens un souffle dans mon cou, c’est mon pirate qui lit au-dessus de mon épaule.
Un grand sourire illumine son visage, et me dit :
Tu me rassures, j’ai eu peur que ce livre ne parle que de grottes préhistoriques et de peintures de bisons et autres animaux.
Je serais ravi que tu m’en dise un peu plus sur ce Don des plaisirs.
Je vais laissé Jean M.AUEL t’en dire davantage, mais c’est avec un grand bonheur que je mettrais en pratique sa théorie
Les Enfants de la Terre (en anglais : Earth's Children) est une série romanesque en six volumes de Jean M. Auel, qui met en scène la vie quotidienne des êtres humains durant la Préhistoire. Elle a été publiée entre 1980 et 2011.
L'action se déroule sur le continent européen, 30 000 ans avant notre ère, au cours de la dernière période glaciaire. L’Homo sapiens cohabite avec l'homme de Néandertal et la fiction est donc une contraction entre la fin du Moustérien, l'Aurignacien et le début du Gravettien. Elle met en scène Ayla, une jeune Homo sapiens élevée par des néandertaliens, qui fait preuve à la fois d'ingéniosité, de tolérance et de soif de vivre.
Dans Les Enfants de la Terre, les sociétés Homo sapiens sont presque totalement matriarcales. La notion de paternité y est inconnue, les enfants ont une mère et un « homme du foyer » (le compagnon de leur mère). La religion est le culte de la Mère (Doni dans le roman), et les valeurs de tolérance, en particulier envers l'étranger, y sont prônées. La guerre est inconnue.
Il existe des transgressions de ces valeurs (plutôt de l'ordre de la délinquance), surtout de la part d'individus de sexe masculin, ce qui renforce l'atmosphère de féminisme émanant de cet ouvrage.
La société néandertalienne y est décrite comme patriarcale, rigide (ce qui aurait provoqué leur disparition par la suite), mais jamais de façon systématiquement négative : l'héroïne Ayla les défend tout au long de l'histoire (face au « racisme » de certains de ses congénères), bien qu'ils l'aient bannie, et que l'un d'entre eux l'ait violée.
vendredi 2 mars 2012
Le visiteur du futur en forêt de Brocéliande
Nous savons recevoir dans la forêt de Brocéliande, même les squatteurs. Nous avons préparé un en-cas à notre invité surprise, car il n’est pas bon de rester le ventre vide après une bonne sieste.
Afin de le mettre à l’aise les sirènes ont fredonné une douce mélodie et les chevaliers ont cessé leurs joutes.
Safira, la jolie dragonne bleue, avait allumé un feu et nous nous sommes tous réunis autour.
Morgane qui n’était pas insensible au charme de notre hôte, lui demanda de nous conter les raisons qui l’avaient poussé à faire ce voyage qui l’avait conduit parmi nous.
Il se prénommait Karl, il venait du futur et était envoyé de nos jours pour sauver notre civilisation qui était en grand péril. Mission qui ne semblait pas être très dangereuse mais très compliquer puisqu’il devait nous protéger de nous-mêmes.
Je vous laisse imaginer, comment les chevaliers, les pirates et dragonniers ont réagis. Ils se sont royalement moqué de lui. Comment un homme seul, sans arme, pouvait être plus fort qu’eux pour défendre leurs bien-aimée, leurs compagnons et leurs biens ?
Karl expliqua qu’il n’avait pas besoin d’arme, pour nous faire ouvrir les yeux, d’apprendre à regarder, écouter, de respecter la nature qui nous fait vivre, de nous aimer les uns, les autres, au lieu de nous mépriser et de provoquer des guerres.
Là ce fût le tour des fées, des sirènes et selkies de lui dire qu’il avait du faire une erreur de trajectoire.
Ici tout le monde respectait la nature et si nous sommes tous assis autour de ce feu, c’est qu’il y avait bien longtemps que les haches de guerre étaient enterrées, et qu’un de nos passe temps préféré était de faire l’amour . Certes parfois il y avait de léger conflit lorsqu’une friandise était convoitée par deux personnes, mais bien souvent cette dernière disait quand il y en a pour un, il y en a pour deux .
Karl se frappa la tête en disant : Ma parole vous êtes tous fous !!! Ce n’est pas l’heure de jouer à se déguiser et à rêvasser aux contes de fées.
La sage Viviane prit la parole :
Pourquoi est-ce que ce serait nous les fous et pas vous ?
Nos pouvoirs nous viennent de la Nature, les êtres que nous entourent sont les enfants de la Nature, que vous dites vouloir protéger. Mais il semblerait que vous ne connaissez rien à cette dernière. Il me semble nécessaire de faire votre instruction pour la réussite de votre mission.
En échange vous m’expliquerez comment vous avez pu voyager dans le temps. Car je vous l’avoue, cela me semble irréel, c’est dans un sens contre nature.
Comment est-ce que nous pouvons croire à votre histoire, si vous-même ne croyez pas en nous ?
Pourtant vous nous voyez, vous nous entendez et vous pouvez nous toucher. Quand à nous nous ne pouvons voir le futur dont vous venez ?
C’est ainsi que Viviane prit la main du visiteur du futur et l’entraina dans les profondeurs de la forêt sous le regard noir de Morgane qui voyait sa proie lui échapper.
Ce qui est imaginaire pour les uns peut-être réel pour les autres.
mercredi 15 février 2012
La maison en bois en forêt de Brocéliande
Aujourd’hui , en ce 14 février elle se trouve quelque part dans la forêt de Brocéliande, près d’un lac « le miroir des fées » afin que mes sœurs les Selkies et mes cousines les sirènes puissent participer à la soirée que j’avais organisée avec mes amies les fées Morgane et Viviane.
Nous avions à peine terminé les préparatifs qu’au loin résonnaient les pas des chevaux accompagnés par les cornes de brumes du Belem et du Poseïdon.
Après avoir fait honneur au repas, les uns décidaient d’aller faire une sieste dans les hamacs des goélettes, d’autres d’aller visiter le Val sans retour.
Viviane revenant de Compère, s’installa sur le balcon un livre à la main. Elle fût étonnée d’entendre du bruit qui venait d’une des chambres du haut. Inquiète, elle alla chercher le Prince de Brocéliande.
Ce dernier découvrit un homme endormi. Il décida de le laisser au pays de Morphée, un homme seul n’est pas bien dangereux en forêt de Paimpon.
Petit à petit tout le monde se retrouva à nouveau réuni près de la maison en bois. Les chevaliers décidèrent d’organiser un tournoi, et les chants des fées en leur honneur réveillèrent notre mystérieux visiteur. Ce dernier regardait tout ce petit monde d’un regard suspect et dit :
« Est-ce que je rêve ou je deviens fou »
La douce Viviane s’avança vers lui , en lui souhaitant la bienvenue dans la forêt de Brocéliande terre des Druides et des fées.
mercredi 11 janvier 2012
Un pirate sous vitamine C
Depuis quelque temps, mon pirate se sentait fatigué, et il commençait à s’en inquiéter. Car s’il est très agréable de s’endormir tendrement dans les bras de sa Selkie, il préfèrerait ressentir ses caresses et ses bisous comme une invitation à nos jeux adorés.
Avec les tempêtes de cette fin d’année, les fêtes et nos nuits presque blanches, il était normal que le corps dise stop, je me mets en mode repos. Et puis, moi aussi, j’avais besoin de recharger les batteries.
Mais si j’avais retrouvé mon tonus , au bout de quelques jours, il n’en était pas de même de mon aventurier des mers. Il avait même pas envie de lever l’ancre…
Je lui ai donc suggérer de prendre de la vitamine C, ça ne pourrait pas lui faire de mal. Celle-ci a eu vite fait son effet. A peine une heure après avoir croquer la pastille orangée, qu’il me prenait dans ses bras en m’embrassant langoureusement. Il était impératif d’aller prendre une douche, il entreprit de commencer à me savonner et je me chargeais de lustrer son sabre.
Après cette reprise d’activité intense, je me suis endormie comme un gros bébé dans les bras de mon pirate. Mais ce dernier n’arrivait pas à s’endormir, une vraie pile électrique, afin de ne pas me faire revenir du pays des rêves, il est allé rejoindre sa goélette et commença à la nettoyer à grande eau de la cale au poste de la vigie.
Une agréable odeur de croissants chauds est venue me chatouiller le nez, et c’est toute souriante que j’ai rejoins la véranda où était dressée une très jolie table.
Mon homme n’avait aucune trace de fatigue et pourtant il n’avait pas fermé l’œil de la nuit.
Pendant que je faisais la grasse matinée, il était allé à la pêche et à la chasse, il en avait ramené de quoi nous confectionner un bon repas. Il c’était mis derrière les fourneaux pendant que je remettais un peu d’ordre dans notre pied à terre.
Notre repas terminé, nous avons fait une promenade qui c’est terminé à bord du « Belem » où une bonne glace à la vanille m’attendait.
De retour à la maison, il c’est armé de tournevis, marteaux et tout le bricolage qui attendait depuis des mois, a été fait en quelques heures.
Le soir, nous avons repris nos jeux. Morphée avait beau lutter de toutes ses forces, mon pirate n’a pas fermé l’œil pour une 2ème nuit consécutive. Il a fallu attendre la fin de la deuxième journée, pour qu’il puisse me rejoindre au pays des songes.
Merci à mon tit chval pour cette magnifique image.
Avec les tempêtes de cette fin d’année, les fêtes et nos nuits presque blanches, il était normal que le corps dise stop, je me mets en mode repos. Et puis, moi aussi, j’avais besoin de recharger les batteries.
Mais si j’avais retrouvé mon tonus , au bout de quelques jours, il n’en était pas de même de mon aventurier des mers. Il avait même pas envie de lever l’ancre…
Je lui ai donc suggérer de prendre de la vitamine C, ça ne pourrait pas lui faire de mal. Celle-ci a eu vite fait son effet. A peine une heure après avoir croquer la pastille orangée, qu’il me prenait dans ses bras en m’embrassant langoureusement. Il était impératif d’aller prendre une douche, il entreprit de commencer à me savonner et je me chargeais de lustrer son sabre.
Après cette reprise d’activité intense, je me suis endormie comme un gros bébé dans les bras de mon pirate. Mais ce dernier n’arrivait pas à s’endormir, une vraie pile électrique, afin de ne pas me faire revenir du pays des rêves, il est allé rejoindre sa goélette et commença à la nettoyer à grande eau de la cale au poste de la vigie.
Une agréable odeur de croissants chauds est venue me chatouiller le nez, et c’est toute souriante que j’ai rejoins la véranda où était dressée une très jolie table.
Mon homme n’avait aucune trace de fatigue et pourtant il n’avait pas fermé l’œil de la nuit.
Pendant que je faisais la grasse matinée, il était allé à la pêche et à la chasse, il en avait ramené de quoi nous confectionner un bon repas. Il c’était mis derrière les fourneaux pendant que je remettais un peu d’ordre dans notre pied à terre.
Notre repas terminé, nous avons fait une promenade qui c’est terminé à bord du « Belem » où une bonne glace à la vanille m’attendait.
De retour à la maison, il c’est armé de tournevis, marteaux et tout le bricolage qui attendait depuis des mois, a été fait en quelques heures.
Le soir, nous avons repris nos jeux. Morphée avait beau lutter de toutes ses forces, mon pirate n’a pas fermé l’œil pour une 2ème nuit consécutive. Il a fallu attendre la fin de la deuxième journée, pour qu’il puisse me rejoindre au pays des songes.
Merci à mon tit chval pour cette magnifique image.
dimanche 1 janvier 2012
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