Il est peut-être dangereux de laisser son pirate partir seul , les océans sont remplis de magnifiques créatures, sirènes, Selkies…
Mais il est tout aussi dangereux de laisser sa moussaillonne à terre…
Pendant que mon pirate navigue sur les flots, je vais de concerts en concerts.
Il n’a logiquement aucun soucis à ce faire, puisque je suis trop absorbée par la musique de mes amis, mais voilà, il y a des soirs où…
Lorsque mes musicaux rejoignent leur loge, que le groupe qui est sur scène n’arrive pas à m’accrocher, qu’il n’ y a pas de connexion internet pour mettre des statuts stupides sur FB, il faut bien que je trouve un moyen de rester éveillée jusqu’à l’entrée sur scène de mes potes.
C’est ainsi que je commence à regarder ce qui m’entoure…
Il était devant la scène avec son chapeau et son grand manteau noir. D’un pas assuré il se dirigea vers le bar, attirée comme un aimant, je me suis retrouvée au même endroit pour commander un café. Il laissa ses compagnons, retourner auprès de la scène et d’un signe me demanda de le suivre.
A la sortie du parking, il ralentit afin que je puisse me retrouver à sa hauteur, et de sa voix suave me proposa de faire une promenade au bord de la Mauldre. La lune nous éclairait de ses rayons, après avoir échangé quelques paroles afin de faire un peu connaissance, nous avons aperçu dans le parc un banc qui nous attendait.
Il y avait un petit vent pas très chaud, qui me fit frissonner, il m’enveloppa dans son grand manteau.
J’étais bien ainsi au chaud, tel un petit oisillon dans son nid. Je sentais son souffle chaud dans mon cou..
D’un seul coup la Lune disparu, le noir total, un coup de cymbale…
C’était Flab qui donnait le signal à la musique de reprendre ses droits.
La rosée du matin
http://www.myspace.com/wishesmusic
http://www.facebook.com/pages/WISHES/46368551705#!/pages/WISHES/46368551705?v=info
le rouge et noir
LE BELEM
dimanche 30 janvier 2011
lundi 17 janvier 2011
Virée en Euskadi
Me voilà de retour de mon escapade sur les océans, comme à son habitude mon pirate est arrivé sans avertir et m’a enlevée pour vivre de nouvelles aventures.
Nous avons navigué jusqu’à cette côte dont je lui parle si souvent.
Mais avant d’accoster à Saint Jean de Luz, voilà qu’il prit une envie subite à mon capitaine de voir de plus près cette ville dont certains lui reprochent ses palaces ou ses casinos dont le goût des architectes est douteux. Car pour lui l’homme de la mer, elle était l’Océan avec sa majesté sereine, ses colères. La splendide échappée de la côte Basque vers les hauteurs de la frontière pyrénéenne.
Je lui signale qu’elle faisait l’objet de la crainte des navigateurs, surtout au temps des voiliers.
Je le pris par la main, lui ordonna de s’allonger sur son hamac et lui conta l’histoire de Carcabueno, ce maître-nageur de la grande plage qui se distingua par sa bravoure et sa ténacité.
C’est de loin, que nous avons admiré le phare, le Rocher de la Vierge qui sont deux menaces, outre le danger qu’ils représentent eux- même pour les navires, incapables de s’opposer à la force des courants et des vagues, ils encadrent de nombreuses autres roches qui sont la Roche-Plate, la Frégate, le Boucalot, le Basta et l’Atalaye.
Après avoir fait un détour afin de voir les jumeaux d’Hendaye, nous sommes entrés dans le port de Saint Jean de Luz guidé par le sémaphore de Socoa, nous avons jeté l’ancre dans cette ville qui a vu le mariage de Louis XIV et de Marie-Thérèse d’Autriche infante d’Espagne. Afin de pouvoir profiter de la soirée, nous avons pris le chemin de la montagne.
A notre arrivée Ramuntcho dormait encore, tout à l’heure il partira pour une de ses expéditions clandestines, métier secret de tant d’hommes au Pays Basque . Il suit la tradition, il c’est d’ailleurs fait une réputation comme joueur de pelote Basque. Gracieuse sa promise espère pouvoir danser quelques pas avant son départ pour l’autre côté de la Frontière.
Mon pirate quand il a une idée dans la tête, il ne l’a pas ailleurs, après avoir bu un dernier verre de cidre avec Gracieuse et Ramuntcho, nous voilà chevauchant deux pottoks et pour aller où ?
Et bien à Biarritz, voilà que monsieur a eu des goût de luxes et avait décidé de dormir au Palais de la Reine, il espérait peut être y croiser Shakira…
A peine la porte de la chambre fermée, il m’a gentiment demandé de lui faire une piperade…
La rosée du matin
http://cotebasque.free.fr/sauveteurs/sauveteurs.htm
http://www.bibliomonde.com/livre/ramuntcho-3307.html
http://www.facebook.com/album.php?aid=42093&id=158874014136186&fbid=180104325346488
Nous avons navigué jusqu’à cette côte dont je lui parle si souvent.
Mais avant d’accoster à Saint Jean de Luz, voilà qu’il prit une envie subite à mon capitaine de voir de plus près cette ville dont certains lui reprochent ses palaces ou ses casinos dont le goût des architectes est douteux. Car pour lui l’homme de la mer, elle était l’Océan avec sa majesté sereine, ses colères. La splendide échappée de la côte Basque vers les hauteurs de la frontière pyrénéenne.
Je lui signale qu’elle faisait l’objet de la crainte des navigateurs, surtout au temps des voiliers.
Je le pris par la main, lui ordonna de s’allonger sur son hamac et lui conta l’histoire de Carcabueno, ce maître-nageur de la grande plage qui se distingua par sa bravoure et sa ténacité.
C’est de loin, que nous avons admiré le phare, le Rocher de la Vierge qui sont deux menaces, outre le danger qu’ils représentent eux- même pour les navires, incapables de s’opposer à la force des courants et des vagues, ils encadrent de nombreuses autres roches qui sont la Roche-Plate, la Frégate, le Boucalot, le Basta et l’Atalaye.
Après avoir fait un détour afin de voir les jumeaux d’Hendaye, nous sommes entrés dans le port de Saint Jean de Luz guidé par le sémaphore de Socoa, nous avons jeté l’ancre dans cette ville qui a vu le mariage de Louis XIV et de Marie-Thérèse d’Autriche infante d’Espagne. Afin de pouvoir profiter de la soirée, nous avons pris le chemin de la montagne.
A notre arrivée Ramuntcho dormait encore, tout à l’heure il partira pour une de ses expéditions clandestines, métier secret de tant d’hommes au Pays Basque . Il suit la tradition, il c’est d’ailleurs fait une réputation comme joueur de pelote Basque. Gracieuse sa promise espère pouvoir danser quelques pas avant son départ pour l’autre côté de la Frontière.
Mon pirate quand il a une idée dans la tête, il ne l’a pas ailleurs, après avoir bu un dernier verre de cidre avec Gracieuse et Ramuntcho, nous voilà chevauchant deux pottoks et pour aller où ?
Et bien à Biarritz, voilà que monsieur a eu des goût de luxes et avait décidé de dormir au Palais de la Reine, il espérait peut être y croiser Shakira…
A peine la porte de la chambre fermée, il m’a gentiment demandé de lui faire une piperade…
La rosée du matin
http://cotebasque.free.fr/sauveteurs/sauveteurs.htm
http://www.bibliomonde.com/livre/ramuntcho-3307.html
http://www.facebook.com/album.php?aid=42093&id=158874014136186&fbid=180104325346488
lundi 3 janvier 2011
Les Français champions du monde du péssimisme en 2011 ou Bienvenue au feu de camps
Mes concitoyens m’inquiètent…
C’est certain que le morale des Français soit au raz-des pâquerettes. Comment peut-il en être autrement lorsqu’ils cherchent, de la joie, en s’entassant comme des sardines dans une boite de conserve pour attendre le tirage d’un feu d’artifice qui n’était pas programmé…
Et voilà comment on gaspille de précieuses heures dans les embouteillages, pour trouver une place ou entrer dans un métro bondé et que l’on rentre chez soi déçu, dépité, en ce disant que 2011 commence mal…
Ils m’inquiètent car ils attendent des Pouvoirs Publics le moyen de s’évader !!!
Et pourtant ils étaient nombreux, ils auraient pu faire une méga fête, si seulement, ils avaient parlé à leur voisin, mais pour cela il faut de l’entrainement et le dialogue ne fait malheureusement plus partie de leur quotidien.
Ils m’inquiètent quand je les voie dans les trains de banlieue, écouter de la musique avec leur Ipode ou autre, et que rien ne transparait, ni tristesse, ni joie, ni peur , ni colère, ils entendent mais n’écoutent sûrement pas. Même constat lorsqu’ils lisent, les pages se tournent et pourtant ils semblent dormir les yeux ouverts…
Pour cette année 2011, qui de plus devrait être la dernière, il me semble que déjà 2000 devait être une fin, de quoi, je ne sais cela m’a échappé…
Je voudrais les secouer, leur apprendre à entendre, à lire, à regarder, à sentir, à pleurer, à rire, à crier, en un mot à vivre.
Et le 31 décembre 2011, nous ferions un grand feu de joie, place de la concorde , où les guitaristes gratteront « un petit peu », quelqu’un ou quelqu’une poussera la chansonnette, les joueurs de binious, nous amèneront à Brocéliande où nous attendra Merlin et les fées Viviane et Morgane…
Les mimes interprèteront des morceaux de vie de cette année qui s’achève. L’Auguste et le clown blanc seront là aussi. Au loin un saxophone se fera entendre, un breakdancer commencera un top rock, un petit rat le rejoindra…
Ainsi de l’Arc du CARROUSSEL à la GRANDE ARCHE des milliers de personnes de tous les milieux socioculturels seront ensemble pour faire la fête, et les dessinateurs de rue immortaliseront cet évènement, afin qu’il reste dans les mémoires, cette œuvre ils l’intituleront une fête afin de montrer qu’il est possible de s’amuser avec peu de chose et n’importe quand…
La rosée du Matin
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