Il y a deux ans aujourd'hui, Bruno Henry m'invitait à un événement qui se déroulait au cinéma de Bobigny. C'est ainsi que j'assistais pour la première fois à une soirée du festival « un court tournable » organisé par Ayekoro Kossou
Depuis à chaque fois que mon agenda
me le permet, j'assiste aux soirées « un court tournable »
que ce soit au cinéma le Desperado dans le Quartier Latin ou au
Théâtre douze Maurice Ravel dans le 12ème.
Les films sélectionnés par Ayekoro
sont des invitations à toutes sortes de voyages, qui nous amènent à
nous interroger sur différents sujets, comme le handicape, la
maladie, les conflits, les faits de sociétés. Parfois ces films
permettent de changer les choses, comme pour cet apiculteur, qui en
prenant sa retraite condamnait ses abeilles à une mort certaine,
aucun repreneur n'étant intéressé par son rucher. Un réalisateur
a décidé de faire un film documentaire sur cet homme, et les
abeilles ont été sauvées. Ce n'est qu'une petite goutte d'eau,
mais ne dit on pas que les petites gouttes font les plus grands
océans. Ayekoro, en programmant ces oeuvres participe à la
distribution de ces gouttes d'eau.
« Les projections sont suivies
d'un débat avec les réalisateurs, l'invité d'honneur, qui permet
de créer un dialogue entre les spectateurs et ce milieu
artistique ». J'apprends plein de choses lors de ces soirées
et ce vendredi 18 décembre, c'est le nollywood que j'ai découvert.
Pour en savoir plus :
https://www.facebook.com/UnCourtTournable/
http://www.uncourttournable.fr/
https://vimeo.com/149069389
Pour en savoir plus :
https://www.facebook.com/UnCourtTournable/
http://www.uncourttournable.fr/
https://vimeo.com/149069389
C'est le Bruno Henry que j'ai connu au Banana's Café en 2012 ? ♥
RépondreSupprimerIl y a de grandes chances pour que ce soit ce Bruno Henry
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