le rouge et noir
LE BELEM
vendredi 23 décembre 2011
dimanche 18 décembre 2011
"Et mourir de plaisir"
J’espère pour Z, qui se proposait comme cadeau de Noël à celle qui trouvera le nom des onze groupes qu’il avait écouté le plus, la semaine dernière, que la gagnante ne faisait pas partie de ce genre de femme.
Comment ne pas avoir envie de faire jouir son pirate, lorsque lui nous donne temps de plaisir…
Lorsque je vois son regard rempli de bonheur, son visage illuminé d’un merveilleux sourire, heureux de m’avoir donné du plaisir et de m’avoir comblée. Je n’ai qu’une envie, c’est de lui donner à mon tour ce plaisir. Et ainsi pouvoir rejoindre ensemble le 7ème ciel.
Et si vivre d’aussi délicieux instants est le fruit de l’œuvre d’une infirmière de l’amour, c’est également celui d’un infirmier, cela ne peut être réalisé qu’à deux.
samedi 3 décembre 2011
Ah ! ce qu'on est bien dans son bain.
Par cette journée grise, il n’y a rien de plus agréable que de prendre un bon bain.
Un peu de mousse, une musique douce, quelques bougies et voilà une agréable invitation à la détente.
Je ferme les yeux et je me laisse partir au pays des songes.
Je sens une douce caresse, mais ce n’est pas celle de la mousse.
C’est celle d’un homme qui s’amuse à faire des dessins avec elle sur tout mon corps.
Au début c’est juste un effleurement , puis elle devient de plus en plus insistante, et n’hésite pas à aller à la découverte de mon intimité.
Je commence à sentir que l’eau se rafraîchit, mais je n’ai aucune envie d’ouvrir les yeux et de mettre fin à cette délicieuse illusion.
Il me semble entendre des bruits d’effeuillage…
Je devrais peut-être quand même, revenir à la réalité, il peut être dangereux de s’endormir dans son bain.
J’en étais à me poser ces questions lorsque j’ai entendu un :
« merde, ta baignoire est vraiment trop petite »
Voilà ce qui arrive quand on veut squatter le bain de sa moussaillonne ;-)
samedi 5 novembre 2011
Une partie de cache cache à la façon pirate
Mon pirate voudrait que je l’adopte et pour que cela puisse se faire, il m’a dit cherche moi au supermarché de l’adoption. Cela faisait un certain temps que nous avions pas fait une partie de cache-cache sur un tel site.
Après m'être promenée quelque temps dans les rayons, il m’a semblé trouver le produit que je recherchais. Le pauvre homme avait quelque soucis avec son sabre et il avait besoin d’une conseillère en la matière, car il ne se sentait vraiment pas bien.
Je ne pouvais pas laisser un pirate ainsi, nous nous sommes donc donné rendez-vous.
Le jour J à l’heure H dans l’ascenseur un message de mon pirate, je serais sur Paname dans deux heures, on se fait un resto ciné ?
Un instant de doute et si ce n’était pas mon pirate qui m’attendait ?
Après-tout c’est lui qui a voulu jouer à ce petit jeu, il a prit le risque de perdre une partie.
mercredi 12 octobre 2011
La péniche ciné nomade
La journée commençait bien, notre parrain avait marqué son premier essai en Coupe du Monde contre les Anglais, et continuait ainsi son ascension vers le titre des meilleurs marqueurs d’essais et les bleus étaient qualifiés pour les ½ finales.
C’est bête, mais ce match me faisait marcher sur un petit nuage. Puis mon portable à sonné, c’était mon pirate, son messagé habituel étant amoureux d’une cigogne, il avait pris la route des pays chauds, du coup il avait été dans l’obligation d’utiliser les nouveaux moyens de communications.
Il souhaitait faire une soirée cinéma, mais pas dans une de ces boîtes où seuls les films qui sont assurés de faire un certain nombre d’entrées, sont projetés. Ca tombe bien, il y a quelque jours, gonzaaague avait parlé d’une péniche ciné nomade, et je lui avais dit que j’irais bien y voir un film. Mais le soucis c’est qu’à cette heure, je ne sais où ce trouve cette merveille. Le Belem venait juste de passer le pont de Normandie, j’avais donc plusieurs heures devant moi, pour me préparer et mettre ma marraine Selkie et ses filles à sa recherche, quoique des femmes phoques dans la Seine, ça risque de ne pas passer inaperçue, elles trouveront bien une solution.
Je ne sais comment elles ont fait, les fées ne divulguent pas si facilement leurs ruses, mais elles avaient localisé ce navire, il avait jeté l’ancre à Meulan pour le « festival des fromages« . Voilà une bonne nouvelle, c’est à peine à 20 minutes de chez moi, et en plus nous allons pouvoir écouter « Le temps d'un café tout en dégustant de bons produits laitiers.
Qu’il est agréable de déambuler au bras de son pirate dans les rues de cette ville qui m’a vu naître. D’ailleurs je n’ai pas pu résister de l’entrainer vers le fort, où se trouvait la maternité. En me prenant dans ses bras, il me dit : Mais tout s’explique tu es une ilienne, ce qui explique ton amour pour les aventures maritimes. Dés qu’il est au bord de l’eau, cet homme devient le plus romantique des pirates, même si celle-ci n’est pas salée. Après avoir fait quelque pas bras dessus-dessous, nous sommes arrivés dans un petit coin tranquille juste à côté du pont qui nous mènerait à la péniche, et la séance ne commençait que dans une bonne demi-heure. Nous nous sommes assis au bord de l’eau, et sous l’œil d’un prince blanc, je pensais déjà à la dégustation d’une bonne glace. Mais comme à son habitude ,le petit filou, au moment où j’allais prendre possession du cornet, il m’a embrassé tendrement en me disant : on va louper le début de la projection. Un jour je me vengerais.
La salle était très belle. Les fauteuils rouges se mariaient très bien avec ce décor noir où de discrètes lumières blanches mettaient en valeur ces photos en noir et blanc des plus grands acteurs d’un autre temps. Car dans ce cinéma pas comme les autres, on ne pouvait voir que des films où le jeu des acteurs faisait tout le film, pas d’effets spéciaux, ni de couleurs. Avant la projection du film, il y avait eu celle de la bande d’annonce d’un acteur de notre époque, qui a su nous marquer. Son nom est resté gravé dans notre mémoire et ce soir après pour arriver à le retrouver et suivre son actualité.
vendredi 30 septembre 2011
Le plus beau des virus
Ce soir sur la ligne 14 entre Châtelet et Saint-Lazard, un homme en pantacourt et chemise blanche, souriait en écoutant sa musique. Je ne suis donc pas la seule à qui cela arrive. Mais lorsqu’il c’est aperçu que je le regardait, son sourire à disparu et ne savait plus ce qu’il devait faire. Comprenant son désarroi ayant déjà connu la même situation, je lui ai souri. Son visage c’est à nouveau illuminé.
Je l’ai perdu de vue à Saint-Lazard, m’obstinant à prendre les escaliers au lieu des escalators.
En attendant que mon train soit affiché, j’ai repensé à cet échange, ce qui m’a fait rire doucement. Un homme à côté de moi, me regardait d’un air étrange. S’il savait pourquoi, j’étais si gaie, il me prendrait certainement pour une folle, ce qui a eu pour effet d’accentuer ma bonne humeur.
La situation avait l’air de l’amuser.
Il c’est approché de moi et me dit :
Excusez moi, j’ai un problème, vous savez certainement ce qui vous a charmé, mais si on me demande pourquoi je souris béatement et que je dis c’est tout simplement parce que j’ai croisé une femme qui était joyeuse, on va me prendre pour un fou.
Alors là j’ai carrément pouffé.
Et le pauvre homme qui me demande :
Qu’est-ce que j’ai dit d’aussi drôle ?
C’est que je suis ravie de vous avoir transmis le virus que viens de me transmettre un humain dans le métro.
dimanche 18 septembre 2011
Une soirée, sur un chat.
Hier soir, j’avais prévu d’aller à la fête de l’humanité, ne serais ce que pour aller écouter « le Temps d’un Café »., mais le temps m’a plutôt incité de rester à l’abris.
N’ayant rien de particulier à faire, je sus allée sur un chat, celui où j’avais fait la connaissance de tit Chval .
(http://gouteletteof78.blogspot.com/2010/07/un-drole-de-cheval.html)
A peine connectée, une dizaine de personnes sont venus me dire bsr.
Je ne parlerais pas de ceux, qui demande : Alors coquine on s’ennui ? Dial kokin ?
Je suis polie, mais là j’ai fermé les fenêtres sans rien dire.
Aux autres je leur ai répondu : Bonsoir
2 éme question : Ca va ?
Réponse : oui merci et toi ?
3 éme question : Moi aussi. Tu fais quoi dans la vie ?
Réponse : Comptable et toi ?
Puis 10ème question : Moi 1m86, 75 kg , yeux bleus-verts .
Réponse : Je n’ai pas besoin de tes mensurations pour discuter. Si je ne me trompe pas, je ne suis pas sur un site de rencontre. Moi, je veux juste discuter de cinéma, de musique, quoi une conversation normale.
Plus de nouvelles des messieurs.
Tiens une femme, vient me parler, je vais peut être avoir plus de chance avec elle.
Après avoir appris que son mari est au foot et que qu’elle en profite pour venir discuter, elle me dit qu’elle est toute humide.
Pourquoi tu t ’es fais avoir par la pluie ? A moins que ce soient les dialogues de ces messieurs.
Et voilà qu’elle me répond à non ici je ne parle pas aux hommes.
Au secours, fuir, et prendre de toute urgence la direction de l’île au crâne, ou aller rendre visite à Aurélie Land’s
Car si on y parle d’Amour c’est toujours de belles manières.
N’ayant rien de particulier à faire, je sus allée sur un chat, celui où j’avais fait la connaissance de tit Chval .
(http://gouteletteof78.blogspot.com/2010/07/un-drole-de-cheval.html)
A peine connectée, une dizaine de personnes sont venus me dire bsr.
Je ne parlerais pas de ceux, qui demande : Alors coquine on s’ennui ? Dial kokin ?
Je suis polie, mais là j’ai fermé les fenêtres sans rien dire.
Aux autres je leur ai répondu : Bonsoir
2 éme question : Ca va ?
Réponse : oui merci et toi ?
3 éme question : Moi aussi. Tu fais quoi dans la vie ?
Réponse : Comptable et toi ?
Puis 10ème question : Moi 1m86, 75 kg , yeux bleus-verts .
Réponse : Je n’ai pas besoin de tes mensurations pour discuter. Si je ne me trompe pas, je ne suis pas sur un site de rencontre. Moi, je veux juste discuter de cinéma, de musique, quoi une conversation normale.
Plus de nouvelles des messieurs.
Tiens une femme, vient me parler, je vais peut être avoir plus de chance avec elle.
Après avoir appris que son mari est au foot et que qu’elle en profite pour venir discuter, elle me dit qu’elle est toute humide.
Pourquoi tu t ’es fais avoir par la pluie ? A moins que ce soient les dialogues de ces messieurs.
Et voilà qu’elle me répond à non ici je ne parle pas aux hommes.
Au secours, fuir, et prendre de toute urgence la direction de l’île au crâne, ou aller rendre visite à Aurélie Land’s
Car si on y parle d’Amour c’est toujours de belles manières.
mardi 13 septembre 2011
Sédentarité ou piraterie ?
Après avoir fait la connaissance d’un sédentaire, je me suis demandé durant quelques semaines, s’il était préférable de fréquenter des pirates sans port d’attache mais ceux avec une grande sensibilité ou bien cette sorte d’inactifs.
Après mûre réflexion, il me semble difficile qu’un sédentaire puisse être capable de suivre mon rythme effréné, et partager quelques unes de mes passions, dont un certain dépoussiérage . Bien souvent le discours de ce genre de personnage est le suivant : « c’est super, nous avons des goûts en commun, et j’adore discuter avec toi » . Mais avec le temps, on s’aperçoit bien vite que c’est loin d’être le cas. Il recherche tellement quelqu’un pour être à ses côtés, qu’il est prêt à tout pour faire croire qu’il nous ressemble. Personnellement, je trouve cela complètement stupide, « chasse le naturel, il revient au galop ».
Quand au pirate, il ne cherche rien en particulier, il n’a donc pas besoin de se fabriquer une autre personnalité que la sienne. Même si parfois, il est difficile à comprendre, avec lui il n’y a pas de prise de tête. Il sait donner des conseils, exprimer ses idées, sans juger. Toujours prêts à rendre service, à se sacrifier en cas d’une envie de glace à la vanille, quitte a naviguer pendant des heures afin d’amarrer au ponton de ma demeure.
Le sédentaire tente de séduire, en proposant la stabilité, une certaine régularité, plus de casse tête pour savoir comment finir la fin du mois, tout est organisé, trier, ranger. Il se demande à quoi cela sert de marcher pendant des heures sans but précis, uniquement avec l’espoir de trouver un endroit, où il fait bon s’assoir au milieu de la nature, prendre une feuille, un crayon et coucher quelques mots sur les fées, les pirates, et autres personnages afin de pouvoir agrémenter un blog. Il y a tellement de choses plus importantes à faire.
Le pirate, quand à lui, aime lire ces textes. Peut-être qu’il espère être celui qui nous a inspirés. En tout cas, il est certain qu’à sa prochaine visite, il fera tout pour être le héros de la prochaine histoire.
Le sédentaire est très réticent pour sortir un soir de semaine, car le lendemain il faut se lever pour aller au bureau, les folies c’est pour le week-end et encore avec modération.
Tout en étant conscient, qu’il y a certaines obligations et devoirs qui doivent être respectés, le pirate sait prendre le temps de vivre. Et si par hasard, il n’a pas envie ou ne peut venir à la même soirée, pas de soucis, un texto ou un appel en deuxième partie de soirée afin de savoir où nous nous retrouvons. Avec lui, il n’y a rien de programmé, et la prochaine nuit blanche peut tomber n’importe quel jour, ca vient comme ça.
L’idéal serait de trouver un pirate qui souhaiterait petit à petit jeter l’ancre de plus en plus longtemps, tout en gardant son âme de pirate. Et comme je dis souvent qu’ il est préférable d’écouter son cœur que sa raison, et que je les aime ces pirates.
Après mûre réflexion, il me semble difficile qu’un sédentaire puisse être capable de suivre mon rythme effréné, et partager quelques unes de mes passions, dont un certain dépoussiérage . Bien souvent le discours de ce genre de personnage est le suivant : « c’est super, nous avons des goûts en commun, et j’adore discuter avec toi » . Mais avec le temps, on s’aperçoit bien vite que c’est loin d’être le cas. Il recherche tellement quelqu’un pour être à ses côtés, qu’il est prêt à tout pour faire croire qu’il nous ressemble. Personnellement, je trouve cela complètement stupide, « chasse le naturel, il revient au galop ».
Quand au pirate, il ne cherche rien en particulier, il n’a donc pas besoin de se fabriquer une autre personnalité que la sienne. Même si parfois, il est difficile à comprendre, avec lui il n’y a pas de prise de tête. Il sait donner des conseils, exprimer ses idées, sans juger. Toujours prêts à rendre service, à se sacrifier en cas d’une envie de glace à la vanille, quitte a naviguer pendant des heures afin d’amarrer au ponton de ma demeure.
Le sédentaire tente de séduire, en proposant la stabilité, une certaine régularité, plus de casse tête pour savoir comment finir la fin du mois, tout est organisé, trier, ranger. Il se demande à quoi cela sert de marcher pendant des heures sans but précis, uniquement avec l’espoir de trouver un endroit, où il fait bon s’assoir au milieu de la nature, prendre une feuille, un crayon et coucher quelques mots sur les fées, les pirates, et autres personnages afin de pouvoir agrémenter un blog. Il y a tellement de choses plus importantes à faire.
Le pirate, quand à lui, aime lire ces textes. Peut-être qu’il espère être celui qui nous a inspirés. En tout cas, il est certain qu’à sa prochaine visite, il fera tout pour être le héros de la prochaine histoire.
Le sédentaire est très réticent pour sortir un soir de semaine, car le lendemain il faut se lever pour aller au bureau, les folies c’est pour le week-end et encore avec modération.
Tout en étant conscient, qu’il y a certaines obligations et devoirs qui doivent être respectés, le pirate sait prendre le temps de vivre. Et si par hasard, il n’a pas envie ou ne peut venir à la même soirée, pas de soucis, un texto ou un appel en deuxième partie de soirée afin de savoir où nous nous retrouvons. Avec lui, il n’y a rien de programmé, et la prochaine nuit blanche peut tomber n’importe quel jour, ca vient comme ça.
L’idéal serait de trouver un pirate qui souhaiterait petit à petit jeter l’ancre de plus en plus longtemps, tout en gardant son âme de pirate. Et comme je dis souvent qu’ il est préférable d’écouter son cœur que sa raison, et que je les aime ces pirates.
vendredi 19 août 2011
Comment se faire plaisir en attendant son pirate
Ce matin, j'ai été réveillée par un léger toc toc au carreau de ma chambre. Amoitié endormie, je suis allée ouvrir la fenêtre et les volets. Une mouette venait m'apporter un message de mon pirate. Il est invité à l'anniversaire d'un de ses amis qui loge à quelque kilomètres de chez moi, et il me proposait de venir me chercher pour passer cette soirée ensemble.
Il sera là ce soir, mais quoi faire pour que cette journée ne soit pas trop longue. Il n'y a qu'un seul endroit où j'arrive à être détendue, à part dans ses bras, c'est au centre d'esthétique.
Et me voilà partie pour une petite demie-heure de souffrance et trois heures de pur bonheur.
Une petite musique douce, une lumière tamisée, des bougies, et les mains expertes de l'esthéticienne, qui enlèvent tous les noeuds et ainsi petit à petit j'arrive à me détendre, à tout oublié.
Et j'imagine que c'est mon homme qui me fait ces douces caresses, comme une invitation pour des jeux qui auront lieu plus tard. Car une fois le masque posé, il s'en est allé, pour laisser libre cours à mon imagination.
Puis c'est le réveil tout en douceur, comme je me sens légère, et toute heureuse de pouvoir offrir à cet homme un corps tout doux. Une manucure, un léger maquillage, le temps est passé vite. Oups, plus qu'une demie-heure pour rentrer chez moi, trouver un joli ensemble en dentelle et la robe qui va bien avec, pour pouvoir recevoir cet aventurier des mers.
Le voilà, comme il est beau avec son teint hâlé par le soleil et l'air marin. Il m'embrasse et me sert dans ses bras en me disant que je lui ai manqué et qu'il était un peu jaloux,que je me sois faite aussi belle pour son ami. Comme s'il ne savait pas que c'était pour lui.
Je lui ai proposé quelque chose à boire, mais avec son regard malicieux, il m'a dit qu'il était préférable de partir maintenant sinon on risquerait d'arriver au mieux pour le dessert.
Lorsque nous sommes arrivés dans ce restaurant au bord de l'eau, une jolie table pour deux était dressée un peu à l'écart des autres. Il me surprendra toujours, il n'avait pas oublié le jour où encore matelot, il m'avait enlevée et enfermée dans sa cabine. Me faisant les plus merveilleuses tortures, mais me laissant toujours sur ma faim, jusqu'à ceque je n'en puisse plus et que je le viol. Il adore ce jeu le petit coquin.
mercredi 10 août 2011
Qui est cet inconnu
Le vent soufflait hier midi place de la Bastille, et me voilà en train de jouer au Marilyn Monroe.
Il n'était pas simple de déguster son sandwich, tout en lutant contre Eole, qui était bien décidé à ouvrir ma robe portefeuille. J'étais bien trop préoccupée, pour voir ce qui se passait à côté de moi.
Puis à un passage piéton, je ne sais pourquoi, j'ai relevé la tête, il était un peu plus loin en train de sourire, le spectacle qu'il avait devant les yeux, lui semblait plus agréable à voir que l'écran de son téléphone. Je lui ai rendu son sourire lorsque je l'ai croisé puis j'ai continué mon chemin. Au bout de quelque mètres, je me suis retournée, il était resté au milieu du passage piéton, regardant de mon côté. Heureusement que les rues de Paris sont calmes au mois d'août. Je me suis demandée si j'allais le croiser à nouveau aujourd'hui, mais je n'ai pas vu l'heure passer, et je suis allée déjeuner plus tard. Demain, je fais sonner mon téléphone, on ne sait jamais...
dimanche 31 juillet 2011
Un rêve en rouge et noir
Hier matin un de mes amis m’a demandé si je ne m’étais pas endormie sur mon clavier. En voilà une drôle d’idée, je suis certaine d’avoir passé la nuit confortablement installée dans mon lit.
Aujourd’hui j’ai profité du soleil pour aller me balader au bord de la Seine.
J’aime ces promenades avec pour compagnes les jolies fées bleues et rouges.
Parfois nous sommes dérangées par le ronronnement d’une péniche qui passe.
Après quelques heures de marche, une clairière invitait à une pause bien méritée.
Et c’est ainsi qu’au milieu des champs, j’ai repensé à ce drôle de rêve que j’avais fait.
Je venais de recevoir, le joli cadeau que je m’étais fait, une parure aux couleurs de mon club préféré avec un magnifique ST en son centre.
Comment allait réagir mon pirate devant cette literie, va-t-il se prendre pour un rugbyman et me confondre avec le ballon ovale…
Mais voilà chose surprenante dés que ce dernier c’est couché, il c’est fondu à la parure tel un caméléon.
Imaginez ma surprise, lorsque revenant de la salle d’eau, je ne l’ai point vu entrain de m’attendre…
Et à ce moment là la housse de couette m’a prise dans ses bras, le drap housse a commencé à me faire des bisous et l’oreiller à l’oreiller…
Mais en y réfléchissant, mon ami n’avait peut-être pas tort, je me suis peut-être endormie sur mon clavier après avoir lue l’histoire de Rackham le rouge en pensant à un certain méchoui ;-))
Aujourd’hui j’ai profité du soleil pour aller me balader au bord de la Seine.
J’aime ces promenades avec pour compagnes les jolies fées bleues et rouges.
Parfois nous sommes dérangées par le ronronnement d’une péniche qui passe.
Après quelques heures de marche, une clairière invitait à une pause bien méritée.
Et c’est ainsi qu’au milieu des champs, j’ai repensé à ce drôle de rêve que j’avais fait.
Je venais de recevoir, le joli cadeau que je m’étais fait, une parure aux couleurs de mon club préféré avec un magnifique ST en son centre.
Comment allait réagir mon pirate devant cette literie, va-t-il se prendre pour un rugbyman et me confondre avec le ballon ovale…
Mais voilà chose surprenante dés que ce dernier c’est couché, il c’est fondu à la parure tel un caméléon.
Imaginez ma surprise, lorsque revenant de la salle d’eau, je ne l’ai point vu entrain de m’attendre…
Et à ce moment là la housse de couette m’a prise dans ses bras, le drap housse a commencé à me faire des bisous et l’oreiller à l’oreiller…
Mais en y réfléchissant, mon ami n’avait peut-être pas tort, je me suis peut-être endormie sur mon clavier après avoir lue l’histoire de Rackham le rouge en pensant à un certain méchoui ;-))
mardi 12 juillet 2011
Une moussaillonne débarque dans un festival
Pourquoi ceux ne sont jamais les beaux mecs qui se retrouvent en tenue d’Adam, lors des festivals ? Pourtant il y avait de beaux spécimens, à qui j’aurai bien aimé faire quelques cours de navigation.
Je vous entends penser très fortement : « Ce n‘est pas que pour la musique qu‘elle est allée à ce festival ?
C’est exacte mais l’un n’empêche pas l’autre.
En musique comme pour le reste il en faut pour tous les goûts, et lorsque il y a sur la scène opposée qui ne mérite pas à mes oreilles, de combattre une foule massive et compacte, pour être le plus près possible, j’en profite pour me reposer un peu.
Et comment fait-on pour recharger les batteries sans perdre cette merveilleuse place, et bien en regardant le monde vu d’en bas en prenant la position d’un grand chef sioux. Et pourquoi se priver d’admirer et d’apprécier le paysage ?
Si la couleur prédominante était le noir, il y avait quelques fleurs bleues qui semblaient s’être égarées, genre de celles que l’on croise sur la plage des cavaliers à Anglet et pourtant elles avaient l’air d’apprécier l’ambiance, qui étaient loin d’être celle des plages de surf.
D’autre un peu plus nombreuses étaient bien décidées de prendre d’assaut , les bars à bières et les fosses tout en pensant passées inaperçues et se fondre dans ce paysage lunaire, et pour cela elles avaient enfilé des treillis militaires.
Puis il y a eu celles qui ont eu un coup de chaud, et qui ont tout envoyé promener, mais ça ne méritait pas de s’y attarder
Celles qui attirent le plus le regard de la moussaillonne que je suis, ce sont celles qui se cachent mais qui avec certains accessoires invitent à la curiosité.
Mais voilà que tout ce joli petit monde, devait avoir les mêmes goûts que moi, et s’est retrouvé petit à petit au même niveau que moi. Une autre vue se présentait à moi.
mercredi 22 juin 2011
un sirop miraculeux
Depuis quelque temps, ce n’est pas la pleine forme, un affreux virus ne veut pas me quitter. Je n’arrive pas à coucher un seul mot, sur le moindre bout de papier.
Je devais envoyer une chouette pour qu’elle transmette un message à mon pirate, mais j’en ai vraiment pas le courage, et je ne me souviens même plus ce qui était si important à lui demander.
Si cela continue je vais être obligée d’aller consulter un de ces grands manitous qui va sûrement me conseiller de prendre tout à un tas de poudres de perlimpinpin.
Dans un semi coma, j’ai vaguement entendu qu’on sonnait, un petit effort, ça peut-être important.
C’était Khal Drogo qui avait fait un très long voyage jusqu’ici. Il voulait juste prendre quelque repos et il désirait pouvoir faire un peu de lessive avant de reprendre la route. Je lui ai dit qu’il était le bien venu, mais que je serais une bien piètre hôtesse, mais qu’il n’avait qu’à faire comme chez lui.
Sur ce, je retournais sur le sofa, en espérant arriver à lire quelques lignes du roman que je venais de commencer. Mon invité, me fit boire une tisane qui d’après lui viendrait à bout de mon mal.
J’ai du m’endormir, car Drogo en était au repassage. Il a beau venir de contrées où toutes nos machines sont étrangères, il sait manipuler une machine à laver car il adore regarder le linge tourner dans celle-ci, et il a insisté pour apprendre à utiliser ce jouet. Etant très observateur, il avait vu qu’après la machine qui fait tourner les pagnes, il y avait celui qui fait du chaud, mais voilà pauvre de lui, il n’avait jamais vu la publicité de Perrier.
Si je n’étais pas dans cet état second, j’aurai pu faire quelque chose pour lui…lorsqu’une petit voix me dit : Il serait temps de laisser les remèdes de grands-mères de côté d’écouter les conseils de ton père.
Mais ça y est je sais pourquoi je devais envoyer une chouette vers le Belem, pour demander au pirate de me faire parvenir du sirop de corps d’homme, d’après mon père c’est radical contre les virus.
J’allais me diriger vers la volière lorsque une idée de génie m’est venue, en voyant Drogo armé du fer à repasser en tenue d’Adam.
Joindre l’utile à l’agréable, lui éviter des brûlures fortement désagréables et collecter ce sirop qui devenait vital pour ma survie. Mon pirate lui en sera certainement reconnaissant d’avoir soigné sa selkie
http://www.ina.fr/pub/alimentation-boisson/video/PUB3175463152/perrier-fer-a-repasser.fr.html
Je devais envoyer une chouette pour qu’elle transmette un message à mon pirate, mais j’en ai vraiment pas le courage, et je ne me souviens même plus ce qui était si important à lui demander.
Si cela continue je vais être obligée d’aller consulter un de ces grands manitous qui va sûrement me conseiller de prendre tout à un tas de poudres de perlimpinpin.
Dans un semi coma, j’ai vaguement entendu qu’on sonnait, un petit effort, ça peut-être important.
C’était Khal Drogo qui avait fait un très long voyage jusqu’ici. Il voulait juste prendre quelque repos et il désirait pouvoir faire un peu de lessive avant de reprendre la route. Je lui ai dit qu’il était le bien venu, mais que je serais une bien piètre hôtesse, mais qu’il n’avait qu’à faire comme chez lui.
Sur ce, je retournais sur le sofa, en espérant arriver à lire quelques lignes du roman que je venais de commencer. Mon invité, me fit boire une tisane qui d’après lui viendrait à bout de mon mal.
J’ai du m’endormir, car Drogo en était au repassage. Il a beau venir de contrées où toutes nos machines sont étrangères, il sait manipuler une machine à laver car il adore regarder le linge tourner dans celle-ci, et il a insisté pour apprendre à utiliser ce jouet. Etant très observateur, il avait vu qu’après la machine qui fait tourner les pagnes, il y avait celui qui fait du chaud, mais voilà pauvre de lui, il n’avait jamais vu la publicité de Perrier.
Si je n’étais pas dans cet état second, j’aurai pu faire quelque chose pour lui…lorsqu’une petit voix me dit : Il serait temps de laisser les remèdes de grands-mères de côté d’écouter les conseils de ton père.
Mais ça y est je sais pourquoi je devais envoyer une chouette vers le Belem, pour demander au pirate de me faire parvenir du sirop de corps d’homme, d’après mon père c’est radical contre les virus.
J’allais me diriger vers la volière lorsque une idée de génie m’est venue, en voyant Drogo armé du fer à repasser en tenue d’Adam.
Joindre l’utile à l’agréable, lui éviter des brûlures fortement désagréables et collecter ce sirop qui devenait vital pour ma survie. Mon pirate lui en sera certainement reconnaissant d’avoir soigné sa selkie
http://www.ina.fr/pub/alimentation-boisson/video/PUB3175463152/perrier-fer-a-repasser.fr.html
dimanche 29 mai 2011
La fête des mères.
Vous vous demandez sûrement ce que l'on peut offrir à une moussaillonne pour la fête des mères ?
Comme pour toutes les autres mamans, les petits pirates ont plus d'une idées, pour montrer tout l'amour qu'ils ont pour leur polissonne de mère.
Il y a les colliers de pâtes, des bracelets, des parfums toute une panoplie d'objets qui la rendrait encore plus jolie et plus désirable aux yeux de son pirate. Mais cette année, ils ont eu comme un déclic, car ils ont pris conscience que ces cadeaux, satisfaisaient davantage le pirate que la moussaillonne !!!
Et voilà qu'une fois le paquet cadeau enlevé, un joli boxer noir est apparu avec un petit coeur rouge tout mignon. Après un léger instant interrogatif, elle pris ses petits pirates dans ses bras pour les remercier, avec un petit sourire coquin car elle imaginait son pirate avec ce sous-vêtement, si toute fois il acceptait de le porter...
Comme pour toutes les autres mamans, les petits pirates ont plus d'une idées, pour montrer tout l'amour qu'ils ont pour leur polissonne de mère.
Il y a les colliers de pâtes, des bracelets, des parfums toute une panoplie d'objets qui la rendrait encore plus jolie et plus désirable aux yeux de son pirate. Mais cette année, ils ont eu comme un déclic, car ils ont pris conscience que ces cadeaux, satisfaisaient davantage le pirate que la moussaillonne !!!
Et voilà qu'une fois le paquet cadeau enlevé, un joli boxer noir est apparu avec un petit coeur rouge tout mignon. Après un léger instant interrogatif, elle pris ses petits pirates dans ses bras pour les remercier, avec un petit sourire coquin car elle imaginait son pirate avec ce sous-vêtement, si toute fois il acceptait de le porter...
mercredi 11 mai 2011
Ca devient inquiétant !!!
Il ne navigue pas sur un magnifique trois mats, il ne s’habille pas tout de noir, et il n’a même pas de chapeau, mais je partirai bien en sa compagnie vivre quelques aventures…
Il va falloir que je consulte ma marraine, la fée Selkie pour qu’elle vienne à mon aide, qu’elle me donne un fluide qui me protègerai de son envoutement. A moins que ce soit elle qui lui a donné ce don, de pouvoir me faire tout oublier dés qu’il commence à jouer…
Dés les premiers accords, il m’entraine dans son monde orné de partitions, sur lesquelles les notes dansent. J’ai l’impression de me dédoubler, je suis dans la fosse, je ne perd rien du concert, et en même temps, je suis avec lui sur la scène, je vis sa musique à travers lui.
Mais le plus inquiétant c’est lorsque les projecteurs s’éteignent, que les lumières se rallument, que la magie du spectacle c’est endormie, il reste là, quelque part…
Même lorsqu’il entend une mélodie qui lui plait , qu’il imagine avoir une guitare, il arrive à me mettre en transe.
C’est certain il m’a ensorcelée !!!
Il va falloir que je consulte ma marraine, la fée Selkie pour qu’elle vienne à mon aide, qu’elle me donne un fluide qui me protègerai de son envoutement. A moins que ce soit elle qui lui a donné ce don, de pouvoir me faire tout oublier dés qu’il commence à jouer…
Dés les premiers accords, il m’entraine dans son monde orné de partitions, sur lesquelles les notes dansent. J’ai l’impression de me dédoubler, je suis dans la fosse, je ne perd rien du concert, et en même temps, je suis avec lui sur la scène, je vis sa musique à travers lui.
Mais le plus inquiétant c’est lorsque les projecteurs s’éteignent, que les lumières se rallument, que la magie du spectacle c’est endormie, il reste là, quelque part…
Même lorsqu’il entend une mélodie qui lui plait , qu’il imagine avoir une guitare, il arrive à me mettre en transe.
C’est certain il m’a ensorcelée !!!
dimanche 1 mai 2011
Un livreur de pizza pas comme les autres
Dans le transilien qui me ramenait de Paris où j’avais été voir Fabrice Luchini, il y avait un homme qui me semblait avoir déjà vu, mais où ?
Ma fille m’a demandé : « Qu’est-ce que tu regardes ainsi ? »
Je n’y suis pour rien, dés qu’il y a quelque chose que je trouve beau, je ne peut m’empêcher de regarder, que ce soit une photo, une fleur, une sculpture, une femme, une voiture, une moto, un cheval, un tigre ou un homme. Un certain Tomtom m’a dit qu’un jour il allait m’arriver des bricoles…
Le train c’est remplit, et un individu c’est mis de telle façon que je ne pouvais plus voir ce chef d’œuvre de la nature.
Arrivée à notre station, nous sommes allées rejoindre Cibertine qui mourrait de soif. Après avoir fait un détour vers son bar préféré, nous sommes rentrées. Une superbe voiture était stationnée devant chez moi, elle ressemblait trait pour trait à celle qui joue dans transporter.
Une fois que mes elfes sont partis, je suis allée faire un tour sur les bords de Seine.. A mon retour, la belle Audi avait disparue, mais le temps de fermer le portail, elle était à nouveau là.
Tout en prenant mon courrier, j’essayais de voir à quoi ressemblait celui ou celle qui était au volant.
C’est pas le tout, mais regarder les belles voitures ça ne nourrit pas.
Je téléphone à la pizzeria , pour passer ma commande, et voilà qu’on me dit que je serais livrée d’ici une demi-heure. Entre temps, la voiture était repartie, mais au bout d’une demi-heure elle est revenue, et le bel homme que j’avais vu dans le train en est sortit avec… des pizzas. Il avait un costume noir impeccable , il avait du changer car il n’ay avait pas un faux pli, et une chemise assortie mais vu la chaleur, il avait laissé les boutons du haut ouverts. Je l’aurai plutôt vu avec un bouquet de roses, que des pizzas, quoique ça ne doit pas être le genre romantique…
Je lui avais à peine ouvert, qu’il avait déjà pris possession des lieux. Il m’a pris la main, m’a entraine dans le salon, en me disant de m’assoir, de ne plus bouger et surtout de poser aucune question. Et vu son regard, il était pas question de faire autre chose que de lui obéir. J’avais mon portable, près de moi, prête à faire le 112, s’il le fallait.
Et voilà, qu’il allait me faire mentir, un vrai romantique se cache derrière, cette image de sans cœur. Il prépara une très jolie table, avec pétales de roses et bougies. Un étranger aurait pu croire que c’était le maître de maison, car il n’hésitait pas une seconde pour trouver ce dont il avait besoin.
Ok, ta table est très belle, mais tu as mis des coupes de champagne, et je n‘ai pas mis de bulles au frais. Je me trompais, par je ne sais quel miracle, il sortit une bouteille de champagne du freezer.
Et me dis : « Tu aurais quand même pu trouver mieux que des pizzas !!! »
Non mais je rêve, là c’en est de trop.
« Au cas où tu ne le saurais pas je n’ai invité personne … »
Après tout il avait dit pas de questions, et c’en était pas une.
« Il fallait ramener un vin pétillant Italien au lieu du champagne et du tiramisu pour l’accompagner, pour faire un repas made-in Italie. »
Il m’a regardé en fronçant les sourcils, Il ne devrait pas me regarder ainsi, il va lui arriver des bricoles…
Après avoir savouré notre repas , assez silencieux, car pas très causant le monsieur. Pourquoi utiliser 10 mots lorsqu’un seul suffit à se faire comprendre, c’est une façon de voir les choses, à méditer !!!
Je me dirigeais vers la salle de bain, en ayant bien l’intention d’aller prendre un bon bain.
Il me regarde surpris et me dit et ça en me montrant ce qui restait de sa jolie table. Je lui ai dit, tu as très bien su mettre la table, tu sauras la débarrasser, moi je vais finir de me détendre , après je verrai, si j’ai envie de faire un peu de dépoussiérage.
C’est pas une heure pour faire le ménage me dit-il.
Quel étrange personnage, il sait où tout se range chez moi mais ne connait pas le dépoussiérage made in pirate…
Je me suis placée en face de lui en lui disant qu’à partir de maintenant, c’était moi qui reprenait les commandes. Tu débarrasses la table, tu ranges, tu t’assois en m’attendant et tu ne poses pas de question.
Après avoir barboté dans une ambiance digne d’un hammam, si souvent c’est plutôt une envie de dormir qui vient après un tel moment de délice, il arrive parfois qu’une terrible envie de s’occuper d’un pirate arrive. Lorsqu’on a pas de pirate sous la main, mais un bel homme qui veut vous faire croire qu’il est innocent au point de débarquer chez vous, de jouer au grand romantique et ne pas comprendre le terme dépoussiérage. Autant lui faire croire être tomber dans son piège, et lui proposer une petite leçon…
Ma fille m’a demandé : « Qu’est-ce que tu regardes ainsi ? »
Je n’y suis pour rien, dés qu’il y a quelque chose que je trouve beau, je ne peut m’empêcher de regarder, que ce soit une photo, une fleur, une sculpture, une femme, une voiture, une moto, un cheval, un tigre ou un homme. Un certain Tomtom m’a dit qu’un jour il allait m’arriver des bricoles…
Le train c’est remplit, et un individu c’est mis de telle façon que je ne pouvais plus voir ce chef d’œuvre de la nature.
Arrivée à notre station, nous sommes allées rejoindre Cibertine qui mourrait de soif. Après avoir fait un détour vers son bar préféré, nous sommes rentrées. Une superbe voiture était stationnée devant chez moi, elle ressemblait trait pour trait à celle qui joue dans transporter.
Une fois que mes elfes sont partis, je suis allée faire un tour sur les bords de Seine.. A mon retour, la belle Audi avait disparue, mais le temps de fermer le portail, elle était à nouveau là.
Tout en prenant mon courrier, j’essayais de voir à quoi ressemblait celui ou celle qui était au volant.
C’est pas le tout, mais regarder les belles voitures ça ne nourrit pas.
Je téléphone à la pizzeria , pour passer ma commande, et voilà qu’on me dit que je serais livrée d’ici une demi-heure. Entre temps, la voiture était repartie, mais au bout d’une demi-heure elle est revenue, et le bel homme que j’avais vu dans le train en est sortit avec… des pizzas. Il avait un costume noir impeccable , il avait du changer car il n’ay avait pas un faux pli, et une chemise assortie mais vu la chaleur, il avait laissé les boutons du haut ouverts. Je l’aurai plutôt vu avec un bouquet de roses, que des pizzas, quoique ça ne doit pas être le genre romantique…
Je lui avais à peine ouvert, qu’il avait déjà pris possession des lieux. Il m’a pris la main, m’a entraine dans le salon, en me disant de m’assoir, de ne plus bouger et surtout de poser aucune question. Et vu son regard, il était pas question de faire autre chose que de lui obéir. J’avais mon portable, près de moi, prête à faire le 112, s’il le fallait.
Et voilà, qu’il allait me faire mentir, un vrai romantique se cache derrière, cette image de sans cœur. Il prépara une très jolie table, avec pétales de roses et bougies. Un étranger aurait pu croire que c’était le maître de maison, car il n’hésitait pas une seconde pour trouver ce dont il avait besoin.
Ok, ta table est très belle, mais tu as mis des coupes de champagne, et je n‘ai pas mis de bulles au frais. Je me trompais, par je ne sais quel miracle, il sortit une bouteille de champagne du freezer.
Et me dis : « Tu aurais quand même pu trouver mieux que des pizzas !!! »
Non mais je rêve, là c’en est de trop.
« Au cas où tu ne le saurais pas je n’ai invité personne … »
Après tout il avait dit pas de questions, et c’en était pas une.
« Il fallait ramener un vin pétillant Italien au lieu du champagne et du tiramisu pour l’accompagner, pour faire un repas made-in Italie. »
Il m’a regardé en fronçant les sourcils, Il ne devrait pas me regarder ainsi, il va lui arriver des bricoles…
Après avoir savouré notre repas , assez silencieux, car pas très causant le monsieur. Pourquoi utiliser 10 mots lorsqu’un seul suffit à se faire comprendre, c’est une façon de voir les choses, à méditer !!!
Je me dirigeais vers la salle de bain, en ayant bien l’intention d’aller prendre un bon bain.
Il me regarde surpris et me dit et ça en me montrant ce qui restait de sa jolie table. Je lui ai dit, tu as très bien su mettre la table, tu sauras la débarrasser, moi je vais finir de me détendre , après je verrai, si j’ai envie de faire un peu de dépoussiérage.
C’est pas une heure pour faire le ménage me dit-il.
Quel étrange personnage, il sait où tout se range chez moi mais ne connait pas le dépoussiérage made in pirate…
Je me suis placée en face de lui en lui disant qu’à partir de maintenant, c’était moi qui reprenait les commandes. Tu débarrasses la table, tu ranges, tu t’assois en m’attendant et tu ne poses pas de question.
Après avoir barboté dans une ambiance digne d’un hammam, si souvent c’est plutôt une envie de dormir qui vient après un tel moment de délice, il arrive parfois qu’une terrible envie de s’occuper d’un pirate arrive. Lorsqu’on a pas de pirate sous la main, mais un bel homme qui veut vous faire croire qu’il est innocent au point de débarquer chez vous, de jouer au grand romantique et ne pas comprendre le terme dépoussiérage. Autant lui faire croire être tomber dans son piège, et lui proposer une petite leçon…
samedi 16 avril 2011
Le quad Rugby
Je remercie Rémi Leautier et Guillaume Pierret d'avoir bien voulou répondre à mes questions et à Didier Saboulard président des Toulousains de Paris, d'avoir publier cette interview dans le magazine de l'association.
Le 15 janvier 2011 est sortit le clip du groupe Tourangeau FUMUJ avec le Stade Toulousain Rugby Handisport signé Guillaume Pierret et Rémi LEAUTIER. Réalisateurs et acteurs connus pour leurs films d’action, INDEMME et SURRENDER.
Pouvez-vous vous présenter en quelques lignes :
Guillaume : Bonjour, moi c’est Guillaume et je vais sur mes 28 ans. Cela va faire 6 ans que je réalise des courts-métrages en indépendant, aidé de Rémi. On a en commun ce goût pour l’énergie et l’action, qu’on partage depuis notre enfance.
Rémi : Donc moi c'est Rémi, bientôt 27 ans et voilà plusieurs années que j'accompagne mon pote d'enfance Guillaume dans l'expérience du court-métrage.
Comment vous est venu l’idée de faire un clip ?
Guillaume : Tourner un clip est généralement une étape obligée pour un réalisateur (qu’il soit confirmé ou en herbe). Cela permet d’étoffer son expérience, s’essayer à un autre format que le court-métrage. En ce qui nous concerne, cela nous permettait également de travailler pour la première fois avec une vraie équipe et du matériel pro…
Rémi : Durant une fin de soirée dominicale de zapping télévisuel désespéré, je suis tombé sur la fin d'un reportage sur le Quadrugby sur la chaîne toulousaine TLT. Ces 2 minutes ont eu l'effet d'un véritable électrochoc sur moi. Je découvrais un sport agressif, tactique et visuel. Un aspect général qui démystifiait totalement le fauteuil roulant et la notion de handicap pour offrir un vrai spectacle. Je me suis jeté sur le téléphone, j'ai appelé Guillaume en lui montrant des liens sur internet. Sa réaction était sans appel, il fallait faire quelque chose là dessus. Le lendemain j'ai contacté Nicolas Coste, entraîneur très impliqué dans cette discipline, 2 jours plus tard on s'est rencontré et le courant est très vite passé
FUMUJ en proposant sur scène une création multi -sensorielle , ont brisé la barrière du silence entre sourds et entendants. Est-ce une des raisons pour laquelle vous avez souhaité travailler avec eux ?
Guillaume : Pas vraiment. Comme on ne fait rien comme tout le monde, on a tourné une partie des images avant même de trouver la musique ! Ce n’est qu’un an plus tard, après avoir passé du temps à chercher un groupe dont la musique et l’énergie correspondraient parfaitement, qu’on s’est tournés vers FUMUJ. On a ensuite lancé une nouvelle session de tournage afin d’agrémenter le clip avec des images du groupe… A l’époque, ils n’avaient pas encore développé leur concept de concerts pour sourds et malentendants. Cela dit, c’est une excellente initiative, qui mériterait bien un nouveau clip pour illustrer tout ça !
Rémi : C'est plus la qualité et l'originalité de Fumuj qui ont été déclencheurs. Leur précédent album était tous simplement incroyable. Ils ont été très sensible aux premières images que nous avions déjà tournées. Pierre, le MC a été très inspiré et a écrit un texte qui allait complètement dans notre vision du projet. Leur initiative de faire un concert adapté aux sourds et malentendants est arrivée plus tard et se situe, je pense dans une continuité logique de leur sensibilité et de leur originalité.
Pourquoi avoir préféré le quad-rugby parmi les handisports ?
Guillaume : Le Quad-rugby est la raison pour laquelle on s’est lancés tête baissée dans le tournage d’un clip sans même avoir cherché le groupe à qui il serait destiné. C’est Rémi qui m’a appelé un soir, pour me dire qu’il venait de voir un reportage sur le sport le plus dingue qu’il ait jamais vu… Quand j’ai vu ces images de match, ça a été un véritable électrochoc. Il fallait absolument mettre ça en boite le plus vite possible !
Rémi : Cette discipline détient un atout de taille, une esthétique propre. Le côté « Madmax » d'un fauteuil de quad devient rapidement une source d'inspiration pour nous autres amateurs d'action et d'énergie. Le côté « jamais vu » de ce sport en fait un diamant brut. Avec Guillaume on est toujours soucieux d'être originaux et généreux dans ce qu'on propose et le quad imposait des traits vraiment fort à l'image.
Avez-vous choisi le Stade Toulousain Rugby Handisport, (anciennement THOM) en raison de vos origines du Sud - Ouest , pays du rugby ?
Rémi : Non, pas vraiment. Le coup de foudre a été immédiat devant ma télé. Et ils ont été très réceptifs à notre discours. C'est une équipe, et je ne parle pas que des joueurs, qui est vraiment incroyable. Ils dégagent tous un vrai engagement personnel dans ce qu'ils entreprennent et leur soutien, leur implication ont été une pièce maîtresse dans la réussite de ce projet.
Est-il prévu de faire un court métrage sur le thème du quad - rugby ?
Guillaume : je laisse le soin à l’autre cul de répondre.
Rémi : Personnellement, je n'en ai pas fini avec la thématique du handicap. En tant que sportif
assidu et passionné, j'ai toujours exprimé ma peur profonde du fauteuil roulant et de ce fait, ma très
grande admiration pour tous ces athlètes de handisport.
Ce clip a été une vraie confrontation pour moi et m'a fait ressentir toute la puissance qui se dégage
d'un fauteuil de quadrugby. Avec Pablo Neuman, président du club, mais aussi Ludovic
Fourdrignier et Nicolas Coste, nous sommes devenus amis et je leur ai soumit un autre projet, plus
profond et introspectif. Nous travaillons en ce moment dessus, donc affaire à suivre.
dimanche 20 mars 2011
L'arrivée du printemps.
Le concert c’est terminé à minuit, il a débranché les jacks, rangé sa guitare dans son étui.
Il est allé rejoindre les autres membres du groupe, pour arroser la Saint-Patrick.
Une heure du matin, il se dirige vers le bassin de l’Arsenal où il avait rendez-vous, avec celle qui d’habitude est dans la fosse et d’yeux que pour lui.
Elle de son côté, venait de quitter des amis, avec qui elle avait passé la soirée, n’ayant pas pu assister au concert. Elle se disait qu’elle aurait bien aimé se promener le long du canal Saint-Martin, mais il ne faisait pas très chaud en cette nuit de la Saint-Patrick.
Puis ils s’aperçurent et se précipitèrent l’un vers l’autre.
Ils repartirent main dans la main vers le port de plaisance.
Il sauta dans le canot, elle le détacha, il lui tendit la main pour l’aider à monter, et partirent en direction de la Seine.
En quelques minutes, ils avaient rejoint leur magnifique trois mats.
Où, ils allaient pouvoir fêter l’arrivée du Printemps comme savent si bien le faire les pirates et leurs moussaillones.
La rosée du matin
mardi 8 mars 2011
Le pirate et sa selkie
Certains vous diront que c’est un truand,
D’autres vous diront que c’est un profiteur.
Qu’il n’est pas digne de confiance.
Qu’il prend et qu’ensuite il jette.
Puis il y a ceux qui l’idolâtre,
Ceux qui le félicite de ses exploits d’aventuriers.
Ceux qui veulent sa compagnie pour boire un verre.
Ceux qui ne rêve que naviguer les océans en sa compagnie.
Mais moi, celui que j’aime, c’est l’homme.
Celui qui laisse son costume de pirate, à l’entrée de chez moi.
Celui qui se confie, celui qui se donne enfin le droit d’être lui,
Avec ses joies et ses souffrances…
Et si ça dérange qu’il ne fasse pas escale à chaque fois dans mon port.
Que la selkie que je suis ne s’interdit pas de regarder les hommes aux chapeaux
Que nous nous interdisons d’entraver la liberté de l’un comme de l’autre.
Nous savons que rien ni personne ne pourra briser cette merveilleuse complicité qu’il y a entre nous.
La rosée du matin
L'homme au chapeau : http://gouteletteof78.blogspot.com/2011/01/lhomme-au-chapeau.html
D’autres vous diront que c’est un profiteur.
Qu’il n’est pas digne de confiance.
Qu’il prend et qu’ensuite il jette.
Puis il y a ceux qui l’idolâtre,
Ceux qui le félicite de ses exploits d’aventuriers.
Ceux qui veulent sa compagnie pour boire un verre.
Ceux qui ne rêve que naviguer les océans en sa compagnie.
Mais moi, celui que j’aime, c’est l’homme.
Celui qui laisse son costume de pirate, à l’entrée de chez moi.
Celui qui se confie, celui qui se donne enfin le droit d’être lui,
Avec ses joies et ses souffrances…
Et si ça dérange qu’il ne fasse pas escale à chaque fois dans mon port.
Que la selkie que je suis ne s’interdit pas de regarder les hommes aux chapeaux
Que nous nous interdisons d’entraver la liberté de l’un comme de l’autre.
Nous savons que rien ni personne ne pourra briser cette merveilleuse complicité qu’il y a entre nous.
La rosée du matin
L'homme au chapeau : http://gouteletteof78.blogspot.com/2011/01/lhomme-au-chapeau.html
vendredi 25 février 2011
Cow Boy ou Sauteur
Si par malheur vous entendez le chant de ce cow-boy, vous risquez d’être atteinte comme mon amie la cow-girl de cette maladie dont on ne veut pas guérir…
J’avoue que je prendrais bien ce grand oiseau blanc pour rejoindre les plaines du far-west et y retrouver ce bel aventurier. Il est bien connu que j’ai un faible pour les hommes à chapeaux.
Faire une chevauchée en sa compagnie ne doit pas être désagréable.
Et avec ce lasso que pourrait-on faire ?
Il devenait urgent de trouver un remède pour que nos esprits soient purifié de cette dépendance.
Pour cela il faut :
Une arène, quelques vaches et toros,
Un pantalon de coton blanc, une chemise blanche,
Une ceinture et une cravate rouges ou vertes
Un habit de lumière.
En vêtir un beau jeune homme brun et lui demander de faire des sauts au milieu de l’arène au-dessus des animaux.
Le risque est d’être atteinte de la même maladie pour ce beau sauteur…
La rosée du matin
J’avoue que je prendrais bien ce grand oiseau blanc pour rejoindre les plaines du far-west et y retrouver ce bel aventurier. Il est bien connu que j’ai un faible pour les hommes à chapeaux.
Faire une chevauchée en sa compagnie ne doit pas être désagréable.
Et avec ce lasso que pourrait-on faire ?
Il devenait urgent de trouver un remède pour que nos esprits soient purifié de cette dépendance.
Pour cela il faut :
Une arène, quelques vaches et toros,
Un pantalon de coton blanc, une chemise blanche,
Une ceinture et une cravate rouges ou vertes
Un habit de lumière.
En vêtir un beau jeune homme brun et lui demander de faire des sauts au milieu de l’arène au-dessus des animaux.
Le risque est d’être atteinte de la même maladie pour ce beau sauteur…
La rosée du matin
mardi 22 février 2011
Lorsque les fées agissent
Il était un livreur qui n’avait plus qu’une livraison à faire et sa journée était terminée.
Mais voilà il venait de dire à la petite fille de son avant-dernière cliente qu’il ne croyait pas aux fées.
Celles-ci fort mécontentes envoyèrent leurs amis les Korrigans de s’occuper de cet idiot.
Discrètement ces petites créatures firent un tout petit trou dans le tuyau de ce dernier, et petit à petit tout son contenu s’échappa…
Il est arrivé tout heureux à son dernier rendez-vous. Il sortit son long tuyau et l’enfila dans l’orifice prévu à cet effet. Un grand pschitt se fit entendre et plus rien ne coula. Voilà le livreur bien embêté, il ne pouvait partir sans avoir finit d’avoir versé la quantité désirée !!!
« Pensez-vous qu’avec du scotch, je pourrai boucher le trou ? » Demanda-t-il à la jeune femme en rouge et noire qui se trouvait devant lui.
- « Vous pouvez toujours essayer, mais j’en doute » lui répondit-elle.
Effectivement le scotch ne fonctionna pas, il fallait un tuyau de rechange. Ce genre d’ustensile ne se trouvait pas partout… Une longue attente allait commencer.
La jeune femme lui proposa d’attendre dans son repère, mais le livreur refusa voyant les ombres de ses amies les fées qui dansaient aux flammes des bougies. Qui sait ce que celles-ci pourraient lui faire d’autre…
Quelques heures plus tard, les secours arrivèrent et remplacèrent le tuyau défectueux. Soulagé le livreur a pu terminer son travail le cœur léger et rentrer chez lui en un seul morceau.
La rosée du matin
Mais voilà il venait de dire à la petite fille de son avant-dernière cliente qu’il ne croyait pas aux fées.
Celles-ci fort mécontentes envoyèrent leurs amis les Korrigans de s’occuper de cet idiot.
Discrètement ces petites créatures firent un tout petit trou dans le tuyau de ce dernier, et petit à petit tout son contenu s’échappa…
Il est arrivé tout heureux à son dernier rendez-vous. Il sortit son long tuyau et l’enfila dans l’orifice prévu à cet effet. Un grand pschitt se fit entendre et plus rien ne coula. Voilà le livreur bien embêté, il ne pouvait partir sans avoir finit d’avoir versé la quantité désirée !!!
« Pensez-vous qu’avec du scotch, je pourrai boucher le trou ? » Demanda-t-il à la jeune femme en rouge et noire qui se trouvait devant lui.
- « Vous pouvez toujours essayer, mais j’en doute » lui répondit-elle.
Effectivement le scotch ne fonctionna pas, il fallait un tuyau de rechange. Ce genre d’ustensile ne se trouvait pas partout… Une longue attente allait commencer.
La jeune femme lui proposa d’attendre dans son repère, mais le livreur refusa voyant les ombres de ses amies les fées qui dansaient aux flammes des bougies. Qui sait ce que celles-ci pourraient lui faire d’autre…
Quelques heures plus tard, les secours arrivèrent et remplacèrent le tuyau défectueux. Soulagé le livreur a pu terminer son travail le cœur léger et rentrer chez lui en un seul morceau.
La rosée du matin
vendredi 18 février 2011
Saint-Valentin d'une mousaillonne
Par cet après-midi du 14 février, j’ai pris le chemin des bords de Seine. Il y avait de la brume, mais au loin, je vis une corde à l’anneau du trois mats de mon pirate… Était-ce le brouillard qui me faisais des farces ou bien ce voyageur des mers aurait-il pensé à me faire une surprise pour cette fête des amoureux…
Je pris donc la direction de ce côté des bords de Seine.
Il y avait bien un navire amarré , mais je ne ressentais pas la présence de ce majestueux trois mats, c’est comme s’il avait rétrécis au lavage. Je me suis engagée sur le ponton, bien décidé à dire à cet intrus que cet anneau était réservé.
Voyant la ravissante péniche Hollandaise bleue et rouge, je me suis dit que notre « BELEM » serait ravi d’être en si charmante compagnie, d’autant plus qu’elle avait un ravissant nom : Fée Verte ».
Aurais-je à faire à un spécialiste de cette boisson dont le loup ne m’a dit que du bien, celle que l’on déguste après un certain rituel… Voilà que mon agacement commençait à s’envoler. !!!
A cet instant un homme de belle allure sortit de la cabine et me voyant, me regarda d’un air surpris et me demanda : Qu’est-ce que vous faites là ?
C’est la meilleure, il squatte, et n’a même pas l’idée de dire bonjour, il va pas être déçu celui-là…
D’un ton peu aimable, je lui répondis : Bonjour, c’est à moi de vous posez cette question, que faites-vous là, car vous êtes chez moi.
Son visage s’illumina d’un ravissant sourire et s’excusa, et m’annonça qu’il avait des problèmes de moteur et avec ce brouillard, il avait préféré attendre que ce dernier ce soit le vé pour reprendre la route. Et il m’invita à monter à bord.
Sur une table basse, un verre sur lequel était posé une cuillère percée avec un sucre à l’intérieur…
Mon hôte me demanda si j’en voulais un verre. Depuis le temps que je voulais y goûter que ce soit en plus sur l’eau, je ne pouvais qu’accepter.
Est-ce que c’était l’effet de l’Absinthe, mais petit à petit je me rapprochai de cet inconnu, ce qui n’avait pas l’air de lui déplaire. Il faisait de plus en plus chaud, mon batelier me prit la main, et me guida vers l’arrière où il faisait plus frais. Pour le remercier de cette attention, je lui déposa un doux baiser dans le cou. Je lui jetai mon regard vampirique et il accepta cette invitation au jeu…
Absorbé par notre découverte l’un de l’autre, nous n’avions pas vu ni entendu l’abordage qui avait lieu. Mais nous avons bien senti la péniche tremblée sous les pas de….mon pirate !!!
Et voilà qu’il se retrouva nu comme un ver avant que nous ayons eu le temps de faire quoi que ce soit.
Ca tombait bien, à cause des histoires d’un certain Jack, j’avais une envie terrible de faire les poussières … ;-) J’accueilli mon homme comme il se devait, pendant que notre invité continuait à découvrir ce qu’il ne connaissait pas encore. Quel délice de sentir leurs caresses et baisers si différents, de pouvoir les inviter à surfer sur les vagues du plaisir…
La rosée du matin
http://rackhamjack-lerouge.blogspot.com/2011/02/le-sabre-dysa.html
Je pris donc la direction de ce côté des bords de Seine.
Il y avait bien un navire amarré , mais je ne ressentais pas la présence de ce majestueux trois mats, c’est comme s’il avait rétrécis au lavage. Je me suis engagée sur le ponton, bien décidé à dire à cet intrus que cet anneau était réservé.
Voyant la ravissante péniche Hollandaise bleue et rouge, je me suis dit que notre « BELEM » serait ravi d’être en si charmante compagnie, d’autant plus qu’elle avait un ravissant nom : Fée Verte ».
Aurais-je à faire à un spécialiste de cette boisson dont le loup ne m’a dit que du bien, celle que l’on déguste après un certain rituel… Voilà que mon agacement commençait à s’envoler. !!!
A cet instant un homme de belle allure sortit de la cabine et me voyant, me regarda d’un air surpris et me demanda : Qu’est-ce que vous faites là ?
C’est la meilleure, il squatte, et n’a même pas l’idée de dire bonjour, il va pas être déçu celui-là…
D’un ton peu aimable, je lui répondis : Bonjour, c’est à moi de vous posez cette question, que faites-vous là, car vous êtes chez moi.
Son visage s’illumina d’un ravissant sourire et s’excusa, et m’annonça qu’il avait des problèmes de moteur et avec ce brouillard, il avait préféré attendre que ce dernier ce soit le vé pour reprendre la route. Et il m’invita à monter à bord.
Sur une table basse, un verre sur lequel était posé une cuillère percée avec un sucre à l’intérieur…
Mon hôte me demanda si j’en voulais un verre. Depuis le temps que je voulais y goûter que ce soit en plus sur l’eau, je ne pouvais qu’accepter.
Est-ce que c’était l’effet de l’Absinthe, mais petit à petit je me rapprochai de cet inconnu, ce qui n’avait pas l’air de lui déplaire. Il faisait de plus en plus chaud, mon batelier me prit la main, et me guida vers l’arrière où il faisait plus frais. Pour le remercier de cette attention, je lui déposa un doux baiser dans le cou. Je lui jetai mon regard vampirique et il accepta cette invitation au jeu…
Absorbé par notre découverte l’un de l’autre, nous n’avions pas vu ni entendu l’abordage qui avait lieu. Mais nous avons bien senti la péniche tremblée sous les pas de….mon pirate !!!
Et voilà qu’il se retrouva nu comme un ver avant que nous ayons eu le temps de faire quoi que ce soit.
Ca tombait bien, à cause des histoires d’un certain Jack, j’avais une envie terrible de faire les poussières … ;-) J’accueilli mon homme comme il se devait, pendant que notre invité continuait à découvrir ce qu’il ne connaissait pas encore. Quel délice de sentir leurs caresses et baisers si différents, de pouvoir les inviter à surfer sur les vagues du plaisir…
La rosée du matin
http://rackhamjack-lerouge.blogspot.com/2011/02/le-sabre-dysa.html
mardi 15 février 2011
La raison ou le coeur, lequel écouter ?
Elle venait de sortir d’une dépression, lui d’un goulag .
Cela fera 4 ans en juillet que leurs chemins se sont croisés.
Il est entré dans sa vie et celle de ces enfants. Elle n’était plus seule, elle avait quelqu’un qui l’écoutait et la soutenait. Lui n’était plus seul, avait trouvé quelqu’un qui lui laisse vivre sa passion, et une famille.
A une autre époque, ils seraient restés ensemble, la raison l’ayant sûrement remporté sur le cœur.
Mais voilà, avec le départ de sa mère, elle la romantique retrouvait sa liberté et pouvait désormais laisser parler son cœur.
Elle sentait qu’elle s’éloignait de plus en plus, et elle ne se sentait pas le droit de le garder près d’elle, mais en même temps elle ne voulait pas le faire souffrir, ni ses enfants qui c’étaient attachés à lui.
Elle partit quelques jours en Bretagne, ses balades au bord de l’Océan lui ont permis de prendre une décision.
Elle lui a rendu sa liberté, ils sont restés amis.
Aujourd’hui elle sait qu’elle a fait le bon choix.
Il a trouvé l’amour d’une princesse celtique,
Et à eux deux ils ont crée un monde à deux <3
La rosée du matin
http://www.morganirishfairy.com/chapitre_ii.ws
lundi 14 février 2011
Largo ou Paolo
Une belle Lamborghini rouge c’est arrêté devant chez moi, et un beau jeune homme en est sortit.
Il m’a proposé de partir pour la journée à Combourg, le berceau du romantisme.
Après avoir visité le château qui a vu grandir François-René de Chateaubriand, nous allions diriger vers Saint-Malo lorsque…
Une libellule se posa à quelque mètres de nous et une ravissante jeune femme se dirigea d’un pas rapide vers nous.
Elle se planta devant lui, le regarda d’un regard noir, en lui disant d’arrêter d’en faire qu’à sa tête., sinon elle allait lui donner sa démission…
Il l’attrapa par un bras et l’entraîna quelques pas plus loin, une vive discussion fut suivi par quelques coups…
C’étaient leur façon de faire la paix, Largo repartit avec Joy dans la libellule.
Je me suis dirigée vers la Lamborghini où Paolo m’attendait ;-)
La rosée du matin
dimanche 30 janvier 2011
L'homme au chapeau
Il est peut-être dangereux de laisser son pirate partir seul , les océans sont remplis de magnifiques créatures, sirènes, Selkies…
Mais il est tout aussi dangereux de laisser sa moussaillonne à terre…
Pendant que mon pirate navigue sur les flots, je vais de concerts en concerts.
Il n’a logiquement aucun soucis à ce faire, puisque je suis trop absorbée par la musique de mes amis, mais voilà, il y a des soirs où…
Lorsque mes musicaux rejoignent leur loge, que le groupe qui est sur scène n’arrive pas à m’accrocher, qu’il n’ y a pas de connexion internet pour mettre des statuts stupides sur FB, il faut bien que je trouve un moyen de rester éveillée jusqu’à l’entrée sur scène de mes potes.
C’est ainsi que je commence à regarder ce qui m’entoure…
Il était devant la scène avec son chapeau et son grand manteau noir. D’un pas assuré il se dirigea vers le bar, attirée comme un aimant, je me suis retrouvée au même endroit pour commander un café. Il laissa ses compagnons, retourner auprès de la scène et d’un signe me demanda de le suivre.
A la sortie du parking, il ralentit afin que je puisse me retrouver à sa hauteur, et de sa voix suave me proposa de faire une promenade au bord de la Mauldre. La lune nous éclairait de ses rayons, après avoir échangé quelques paroles afin de faire un peu connaissance, nous avons aperçu dans le parc un banc qui nous attendait.
Il y avait un petit vent pas très chaud, qui me fit frissonner, il m’enveloppa dans son grand manteau.
J’étais bien ainsi au chaud, tel un petit oisillon dans son nid. Je sentais son souffle chaud dans mon cou..
D’un seul coup la Lune disparu, le noir total, un coup de cymbale…
C’était Flab qui donnait le signal à la musique de reprendre ses droits.
La rosée du matin
http://www.myspace.com/wishesmusic
http://www.facebook.com/pages/WISHES/46368551705#!/pages/WISHES/46368551705?v=info
Mais il est tout aussi dangereux de laisser sa moussaillonne à terre…
Pendant que mon pirate navigue sur les flots, je vais de concerts en concerts.
Il n’a logiquement aucun soucis à ce faire, puisque je suis trop absorbée par la musique de mes amis, mais voilà, il y a des soirs où…
Lorsque mes musicaux rejoignent leur loge, que le groupe qui est sur scène n’arrive pas à m’accrocher, qu’il n’ y a pas de connexion internet pour mettre des statuts stupides sur FB, il faut bien que je trouve un moyen de rester éveillée jusqu’à l’entrée sur scène de mes potes.
C’est ainsi que je commence à regarder ce qui m’entoure…
Il était devant la scène avec son chapeau et son grand manteau noir. D’un pas assuré il se dirigea vers le bar, attirée comme un aimant, je me suis retrouvée au même endroit pour commander un café. Il laissa ses compagnons, retourner auprès de la scène et d’un signe me demanda de le suivre.
A la sortie du parking, il ralentit afin que je puisse me retrouver à sa hauteur, et de sa voix suave me proposa de faire une promenade au bord de la Mauldre. La lune nous éclairait de ses rayons, après avoir échangé quelques paroles afin de faire un peu connaissance, nous avons aperçu dans le parc un banc qui nous attendait.
Il y avait un petit vent pas très chaud, qui me fit frissonner, il m’enveloppa dans son grand manteau.
J’étais bien ainsi au chaud, tel un petit oisillon dans son nid. Je sentais son souffle chaud dans mon cou..
D’un seul coup la Lune disparu, le noir total, un coup de cymbale…
C’était Flab qui donnait le signal à la musique de reprendre ses droits.
La rosée du matin
http://www.myspace.com/wishesmusic
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lundi 17 janvier 2011
Virée en Euskadi
Me voilà de retour de mon escapade sur les océans, comme à son habitude mon pirate est arrivé sans avertir et m’a enlevée pour vivre de nouvelles aventures.
Nous avons navigué jusqu’à cette côte dont je lui parle si souvent.
Mais avant d’accoster à Saint Jean de Luz, voilà qu’il prit une envie subite à mon capitaine de voir de plus près cette ville dont certains lui reprochent ses palaces ou ses casinos dont le goût des architectes est douteux. Car pour lui l’homme de la mer, elle était l’Océan avec sa majesté sereine, ses colères. La splendide échappée de la côte Basque vers les hauteurs de la frontière pyrénéenne.
Je lui signale qu’elle faisait l’objet de la crainte des navigateurs, surtout au temps des voiliers.
Je le pris par la main, lui ordonna de s’allonger sur son hamac et lui conta l’histoire de Carcabueno, ce maître-nageur de la grande plage qui se distingua par sa bravoure et sa ténacité.
C’est de loin, que nous avons admiré le phare, le Rocher de la Vierge qui sont deux menaces, outre le danger qu’ils représentent eux- même pour les navires, incapables de s’opposer à la force des courants et des vagues, ils encadrent de nombreuses autres roches qui sont la Roche-Plate, la Frégate, le Boucalot, le Basta et l’Atalaye.
Après avoir fait un détour afin de voir les jumeaux d’Hendaye, nous sommes entrés dans le port de Saint Jean de Luz guidé par le sémaphore de Socoa, nous avons jeté l’ancre dans cette ville qui a vu le mariage de Louis XIV et de Marie-Thérèse d’Autriche infante d’Espagne. Afin de pouvoir profiter de la soirée, nous avons pris le chemin de la montagne.
A notre arrivée Ramuntcho dormait encore, tout à l’heure il partira pour une de ses expéditions clandestines, métier secret de tant d’hommes au Pays Basque . Il suit la tradition, il c’est d’ailleurs fait une réputation comme joueur de pelote Basque. Gracieuse sa promise espère pouvoir danser quelques pas avant son départ pour l’autre côté de la Frontière.
Mon pirate quand il a une idée dans la tête, il ne l’a pas ailleurs, après avoir bu un dernier verre de cidre avec Gracieuse et Ramuntcho, nous voilà chevauchant deux pottoks et pour aller où ?
Et bien à Biarritz, voilà que monsieur a eu des goût de luxes et avait décidé de dormir au Palais de la Reine, il espérait peut être y croiser Shakira…
A peine la porte de la chambre fermée, il m’a gentiment demandé de lui faire une piperade…
La rosée du matin
http://cotebasque.free.fr/sauveteurs/sauveteurs.htm
http://www.bibliomonde.com/livre/ramuntcho-3307.html
http://www.facebook.com/album.php?aid=42093&id=158874014136186&fbid=180104325346488
Nous avons navigué jusqu’à cette côte dont je lui parle si souvent.
Mais avant d’accoster à Saint Jean de Luz, voilà qu’il prit une envie subite à mon capitaine de voir de plus près cette ville dont certains lui reprochent ses palaces ou ses casinos dont le goût des architectes est douteux. Car pour lui l’homme de la mer, elle était l’Océan avec sa majesté sereine, ses colères. La splendide échappée de la côte Basque vers les hauteurs de la frontière pyrénéenne.
Je lui signale qu’elle faisait l’objet de la crainte des navigateurs, surtout au temps des voiliers.
Je le pris par la main, lui ordonna de s’allonger sur son hamac et lui conta l’histoire de Carcabueno, ce maître-nageur de la grande plage qui se distingua par sa bravoure et sa ténacité.
C’est de loin, que nous avons admiré le phare, le Rocher de la Vierge qui sont deux menaces, outre le danger qu’ils représentent eux- même pour les navires, incapables de s’opposer à la force des courants et des vagues, ils encadrent de nombreuses autres roches qui sont la Roche-Plate, la Frégate, le Boucalot, le Basta et l’Atalaye.
Après avoir fait un détour afin de voir les jumeaux d’Hendaye, nous sommes entrés dans le port de Saint Jean de Luz guidé par le sémaphore de Socoa, nous avons jeté l’ancre dans cette ville qui a vu le mariage de Louis XIV et de Marie-Thérèse d’Autriche infante d’Espagne. Afin de pouvoir profiter de la soirée, nous avons pris le chemin de la montagne.
A notre arrivée Ramuntcho dormait encore, tout à l’heure il partira pour une de ses expéditions clandestines, métier secret de tant d’hommes au Pays Basque . Il suit la tradition, il c’est d’ailleurs fait une réputation comme joueur de pelote Basque. Gracieuse sa promise espère pouvoir danser quelques pas avant son départ pour l’autre côté de la Frontière.
Mon pirate quand il a une idée dans la tête, il ne l’a pas ailleurs, après avoir bu un dernier verre de cidre avec Gracieuse et Ramuntcho, nous voilà chevauchant deux pottoks et pour aller où ?
Et bien à Biarritz, voilà que monsieur a eu des goût de luxes et avait décidé de dormir au Palais de la Reine, il espérait peut être y croiser Shakira…
A peine la porte de la chambre fermée, il m’a gentiment demandé de lui faire une piperade…
La rosée du matin
http://cotebasque.free.fr/sauveteurs/sauveteurs.htm
http://www.bibliomonde.com/livre/ramuntcho-3307.html
http://www.facebook.com/album.php?aid=42093&id=158874014136186&fbid=180104325346488
lundi 3 janvier 2011
Les Français champions du monde du péssimisme en 2011 ou Bienvenue au feu de camps
Mes concitoyens m’inquiètent…
C’est certain que le morale des Français soit au raz-des pâquerettes. Comment peut-il en être autrement lorsqu’ils cherchent, de la joie, en s’entassant comme des sardines dans une boite de conserve pour attendre le tirage d’un feu d’artifice qui n’était pas programmé…
Et voilà comment on gaspille de précieuses heures dans les embouteillages, pour trouver une place ou entrer dans un métro bondé et que l’on rentre chez soi déçu, dépité, en ce disant que 2011 commence mal…
Ils m’inquiètent car ils attendent des Pouvoirs Publics le moyen de s’évader !!!
Et pourtant ils étaient nombreux, ils auraient pu faire une méga fête, si seulement, ils avaient parlé à leur voisin, mais pour cela il faut de l’entrainement et le dialogue ne fait malheureusement plus partie de leur quotidien.
Ils m’inquiètent quand je les voie dans les trains de banlieue, écouter de la musique avec leur Ipode ou autre, et que rien ne transparait, ni tristesse, ni joie, ni peur , ni colère, ils entendent mais n’écoutent sûrement pas. Même constat lorsqu’ils lisent, les pages se tournent et pourtant ils semblent dormir les yeux ouverts…
Pour cette année 2011, qui de plus devrait être la dernière, il me semble que déjà 2000 devait être une fin, de quoi, je ne sais cela m’a échappé…
Je voudrais les secouer, leur apprendre à entendre, à lire, à regarder, à sentir, à pleurer, à rire, à crier, en un mot à vivre.
Et le 31 décembre 2011, nous ferions un grand feu de joie, place de la concorde , où les guitaristes gratteront « un petit peu », quelqu’un ou quelqu’une poussera la chansonnette, les joueurs de binious, nous amèneront à Brocéliande où nous attendra Merlin et les fées Viviane et Morgane…
Les mimes interprèteront des morceaux de vie de cette année qui s’achève. L’Auguste et le clown blanc seront là aussi. Au loin un saxophone se fera entendre, un breakdancer commencera un top rock, un petit rat le rejoindra…
Ainsi de l’Arc du CARROUSSEL à la GRANDE ARCHE des milliers de personnes de tous les milieux socioculturels seront ensemble pour faire la fête, et les dessinateurs de rue immortaliseront cet évènement, afin qu’il reste dans les mémoires, cette œuvre ils l’intituleront une fête afin de montrer qu’il est possible de s’amuser avec peu de chose et n’importe quand…
La rosée du Matin
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